Mais alors, pourquoi l’homme refuse-t-il la vie en choisissant la mort ? Or Dieu lui montre le chemin, lui expose le moyen pour l’atteindre et surtout rend un vibrant témoignage à son Fils, son Don par excellence. Dieu s’est dépouillé en donnant Jésus pour que l’homme soit réconcilié avec lui. Peut-être mon lecteur voudrait qu’on lui parle encore de Jésus avant qu’il ne se décide ? Mais la plume ne traduira jamais l’excellence de la personne de Jésus.
Il est celui qui a parfaitement glorifié Dieu sur la terre et il s’est offert lui-même à Dieu, volontairement, sans contrainte et sans aucune pression. Sa perfection est mise en évidence quand on considère qu’il est celui «qui n’a pas commis de péché, et dans la bouche duquel il n’a pas été trouvé de fraude ; qui, lorsqu’on l’outrageait, ne rendait pas d’outrage, quand il souffrait, ne menaçait pas, mais se remettait à celui qui juge justement ; qui lui-même a porté nos péchés en son corps sur le bois, afin qu’étant morts aux péchés, nous vivions à la justice» (1 Pier. 2:22-24).
Jésus était l’image du Dieu invisible et le reflet de sa gloire. Jésus connaissait parfaitement le Père ayant été avec lui de toute éternité. Il avait pu dire : «À cause de ceci le Père m’aime, c’est que moi je laisse ma vie, afin que je la reprenne. Personne ne me l’ôte, mais moi, je la laisse de moi-même ; j’ai le pouvoir de la laisser, et j’ai le pouvoir de la reprendre : j’ai reçu ce commandement de mon Père», (Jean 10:17-18).. Et encore : «C’est mes délices, ô Dieu, de faire ce qui est ton bon plaisir, et ta loi est au-dedans de mes entrailles» (Ps. 40:8). Que de fois n’a-t-il pas été exposé aux obstacles et aux difficultés qui tendaient à briser cet élan ? Il fut tenté en toutes choses à part le péché mais — gloire à Dieu ! — toutes ces tentations, ces obstacles, ces embûches, ces assauts de l’ennemi, l’animosité des hommes n’ont fait que faire briller l’excellence de sa personne, à l’intérieur comme à l’extérieur. Tout comme le lapidaire qui, après avoir fait passer sa pierre précieuse dans toutes sortes d’épreuves, l’expose avec satisfaction à la contemplation des admirateurs, ainsi nous voyons le Seigneur Jésus sortir de toutes sortes d’épreuves, vainqueur. Sa pensée n’allait pas au-delà de sa parole ; ce qui nous montre que, l’intérieur et l’extérieur de Christ étaient identiques c’est-à-dire purs. Il n’a pas laissé échapper une parole qui ne reflétait pas sa pensée. Mais au contraire, ses mobiles, ses intentions, ses affections, ses actes et ses paroles cadraient avec ses pensées qui toutes découlaient de Dieu. Ainsi il a pu dire aux Juifs qui s’étonnaient de son enseignement : «Ma doctrine n’est pas mienne, mais de celui qui m’a envoyé» (Jean 7:16). Ceux qui l’écoutaient «s’étonnaient de sa doctrine ; car ils les enseignaient comme ayant autorité, et non pas comme les scribes» (Marc 1:22). À une autre occasion, «une femme éleva sa voix du milieu de la foule et lui dit : bienheureux est le ventre qui t’a porté et les mamelles que tu as tétées. Et il dit : mais plutôt bienheureux sont ceux qui écoutent la parole de Dieu et qui la gardent» (Luc 11:27-28)
Il est celui qui a parfaitement glorifié Dieu sur la terre et il s’est offert lui-même à Dieu, volontairement, sans contrainte et sans aucune pression. Sa perfection est mise en évidence quand on considère qu’il est celui «qui n’a pas commis de péché, et dans la bouche duquel il n’a pas été trouvé de fraude ; qui, lorsqu’on l’outrageait, ne rendait pas d’outrage, quand il souffrait, ne menaçait pas, mais se remettait à celui qui juge justement ; qui lui-même a porté nos péchés en son corps sur le bois, afin qu’étant morts aux péchés, nous vivions à la justice» (1 Pier. 2:22-24).
Jésus était l’image du Dieu invisible et le reflet de sa gloire. Jésus connaissait parfaitement le Père ayant été avec lui de toute éternité. Il avait pu dire : «À cause de ceci le Père m’aime, c’est que moi je laisse ma vie, afin que je la reprenne. Personne ne me l’ôte, mais moi, je la laisse de moi-même ; j’ai le pouvoir de la laisser, et j’ai le pouvoir de la reprendre : j’ai reçu ce commandement de mon Père», (Jean 10:17-18).. Et encore : «C’est mes délices, ô Dieu, de faire ce qui est ton bon plaisir, et ta loi est au-dedans de mes entrailles» (Ps. 40:8). Que de fois n’a-t-il pas été exposé aux obstacles et aux difficultés qui tendaient à briser cet élan ? Il fut tenté en toutes choses à part le péché mais — gloire à Dieu ! — toutes ces tentations, ces obstacles, ces embûches, ces assauts de l’ennemi, l’animosité des hommes n’ont fait que faire briller l’excellence de sa personne, à l’intérieur comme à l’extérieur. Tout comme le lapidaire qui, après avoir fait passer sa pierre précieuse dans toutes sortes d’épreuves, l’expose avec satisfaction à la contemplation des admirateurs, ainsi nous voyons le Seigneur Jésus sortir de toutes sortes d’épreuves, vainqueur. Sa pensée n’allait pas au-delà de sa parole ; ce qui nous montre que, l’intérieur et l’extérieur de Christ étaient identiques c’est-à-dire purs. Il n’a pas laissé échapper une parole qui ne reflétait pas sa pensée. Mais au contraire, ses mobiles, ses intentions, ses affections, ses actes et ses paroles cadraient avec ses pensées qui toutes découlaient de Dieu. Ainsi il a pu dire aux Juifs qui s’étonnaient de son enseignement : «Ma doctrine n’est pas mienne, mais de celui qui m’a envoyé» (Jean 7:16). Ceux qui l’écoutaient «s’étonnaient de sa doctrine ; car ils les enseignaient comme ayant autorité, et non pas comme les scribes» (Marc 1:22). À une autre occasion, «une femme éleva sa voix du milieu de la foule et lui dit : bienheureux est le ventre qui t’a porté et les mamelles que tu as tétées. Et il dit : mais plutôt bienheureux sont ceux qui écoutent la parole de Dieu et qui la gardent» (Luc 11:27-28)
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