Dieu a tellement fait pour nous — Luc 15
Notre Seigneur Jésus a résolument marché devant Dieu dans une entière obéissance, une totale dépendance et un profond dévouement. Cette obéissance l’a conduit jusqu’à la mort de la croix pour sauver l’homme perdu. Il nous aima jusqu’à la mort. Y a-t-il une preuve d’amour plus grande que celle-ci ? Il faut être vraiment insensible pour ne pas capituler devant l’amour de Jésus. Dieu a ouvert les portes de sa maison en donnant son Fils. Allons à Lui en empruntant le chemin qu’il nous présente. Les portails éternels sont ouverts et plusieurs demeures attendent ceux qui croient.
1. La brebis perdue
Pour l’heure, les trois Personnes divines sont en action pour que le coupable soit acquitté, le rebelle accepté, l’inique pardonné, et le pécheur justifié. Chacune des trois Personnes divines cherche l’homme perdu, comme le Seigneur l’a montré dans les trois paraboles de Luc 15 : Nous voyons Jésus en cet homme qui, ayant perdu une brebis parmi les cent, laisse les quatre-vingt-dix-neuf autres dans le désert pour aller après celle qui est perdue jusqu’à ce qu’il l’ait retrouvée. Mais lorsqu’Il l’a retrouvée, Il ne l’insulte pas, ne la frappe pas, ne la menace pas, ni ne la tire par les oreilles pour l’amener de force dans sa bergerie. Mais «il la met sur ses propres épaules ,bien joyeux ; et , étant de retour à la maison, il appelle les amis et les voisins , leur disant : Réjouissez-vous avec moi, car j’ai trouvé ma brebis perdue» (Luc 15:5-6). Quelle manière ! Tout est joie et amour.
2. La drachme perdue
De plus nous voyons le Saint Esprit représenté dans cette femme qui, ayant perdu une drachme parmi les dix qu’elle possède, arrête toute autre activité et se met à la recherche de celle-ci. Elle sait que la drachme est une pièce de monnaie qui ne fera pas de bruit pour se signaler. La drachme n’a pas de vie et donc ne peut se mouvoir. Cette femme ne reste pas les bras croisés et ne dit pas : «ce n’est pas grave, les neuf autres me suffisent». Mais elle allume une lampe pour voir la drachme cachée dans les ténèbres. Si cela ne suffit pas, elle balaie la maison et cherche avec soin et diligence jusqu’à ce qu’elle la retrouve. Et «l’ayant trouvée, elle assemble les amies et les voisines, disant : Réjouissez-vous avec moi, car j’ai trouvé la drachme que j’avais perdue» (Luc 15:9).
3. Le fils prodigue
Enfin nous voyons le Père dans cet Homme qui avait deux fils. «Le plus jeune d’entre eux dit à son père : Donne-moi la part du bien qui me revient. Et il leur partagea son bien. Et peu de jours après ,le plus jeune fils, ayant tout ramassé, s’en alla dehors en un pays éloigné ; et là il dissipa son bien en vivant dans la débauche. Et après qu’il eut tout dépensé, une grande famine survint dans ce pays-là ; et il commença d’être dans le besoin. Et il s’en alla et se joignit à l’un des citoyens de ce pays-là et celui-ci l’envoya dans ses champs pour paître des pourceaux. Et il désirait de remplir son ventre des gousses que les pourceaux mangeaient ; et personne ne lui donnait rien. Et étant revenu à lui-même, il dit : Combien de mercenaires de mon père ont du pain en abondance, et moi je péris ici de faim !» (Luc 15:11-17). Quel fils indigne que celui-ci ! Il ressemble étrangement à l’homme pécheur qui étant en relation avec Dieu par le souffle de vie décide de ne plus reconnaître Dieu comme son Créateur et son Père. La pensée de l’indépendance, de la propre volonté, de l’obstination et de l’égoïsme l’envahit et il décide d’aller dans un pays éloigné, symbole du monde : c’est la séparation. Là, il dissipe tous ses biens c’est-à-dire tout ce que Dieu lui a naturellement donné en tant qu’homme. Dans ce monde où Dieu est absent, il est livré à lui-même et laisse libre cours à sa chair : c’est la vie de débauche, la sensualité qui entraîne la destruction physique et spirituelle. Mais que peut donner le monde à celui qui a soif ? Il se rend très vite compte que ce qui faisait l’objet de sa joie n’est qu’un élixir. Il connaît la famine, l’âme souffrant d’un manque de nourriture. Réalisant sa solitude et son manque, il se met au service du diable ; citoyen du pays qui, sans prendre connaissance de ses besoins réels, l’envoie dans ses champs, garder les pourceaux. L’humiliation est à son comble, le péché est ce qui l’environne ; le fils indigne ne fait que s’enfoncer. Lui qui était fils d’un père riche qui dormait dans une belle demeure et avait des serviteurs, le voilà qui descend au plus bas de l’échelle sociale, avec les pourceaux. Il finit par ne plus rien avoir à manger enviant même les gousses, nourriture des porcs dont il ne pouvait même pas se nourrir. Le diable n’est pas l’ami de l’homme et ne l’aime pas.
Ceux qui se sont confiés à lui en savent quelque chose. Le fils indigne se souvient de la maison paternelle où il y a tout en abondance. Il entre en lui-même : c’est le réveil et la prise de conscience. Il prend une ferme résolution et se dit : «Je me lèverai et je m’en irai vers mon père, et je lui dirai : Père, j’ai péché contre le ciel et devant toi ; je ne suis plus digne d’être appelé ton fils ; traite-moi comme l’un de tes mercenaires .Et se levant, il vint vers son père» (Luc 15:18-20).
Le fils indigne fait un retour en arrière : c’est la conversion, ensuite il se repent et après il confesse ses fautes tout en gardant dans sa mémoire le message qu’il dira à son père. Mais il lui manque quelque chose : Il ne connaît pas le cœur du père, ses intentions, sa bonté et sa manière d’accueillir ceux qui s’éloignent de lui. Et à cause de cette méconnaissance, il espère seulement que son père le traitera comme l’un de ses mercenaires ! Or, «comme il était encore loin, son père le vit et fut ému de compassion, et, courant à lui, se jeta à son cou et le couvrit de baisers» (Luc 15:20).
Qu’aurions-nous fait à sa place ? Nous l’aurions traité comme un vaurien pour ensuite le renier parce que nous l’aurions jugé indigne de porter notre nom. Mais le père était différent ; il fut ému de compassion, courut à sa rencontre, se jeta à son cou, méprisa ses odeurs, sa saleté et la vétusté de ses haillons. Le père oublia qu’il pouvait se salir et le couvrit de baisers. Quelle manière ! Après que le fils indigne eut confessé ses fautes, «le père dit à ses esclaves : Apportez dehors la plus belle robe, et l’en revêtez ; et mettez un anneau à sa main et des sandales à ses pieds ; et amenez le veau gras et tuez-le ; et mangeons et faisons bonne chère ; car mon fils que voici était mort et il est revenu à la vie ; il était perdu, et il est retrouvé» (Luc 15:22-24).
Dieu veut que tous les hommes soient sauvés. Il est prêt à donner la robe de la justice à quiconque se repent. Inutile de repousser à demain la grâce qui t’est donnée aujourd’hui. Que mon lecteur sache qu’«il y a de la joie devant les anges de Dieu pour un seul pécheur qui se repent» (Luc 15:10).
Notre Seigneur Jésus a résolument marché devant Dieu dans une entière obéissance, une totale dépendance et un profond dévouement. Cette obéissance l’a conduit jusqu’à la mort de la croix pour sauver l’homme perdu. Il nous aima jusqu’à la mort. Y a-t-il une preuve d’amour plus grande que celle-ci ? Il faut être vraiment insensible pour ne pas capituler devant l’amour de Jésus. Dieu a ouvert les portes de sa maison en donnant son Fils. Allons à Lui en empruntant le chemin qu’il nous présente. Les portails éternels sont ouverts et plusieurs demeures attendent ceux qui croient.
1. La brebis perdue
Pour l’heure, les trois Personnes divines sont en action pour que le coupable soit acquitté, le rebelle accepté, l’inique pardonné, et le pécheur justifié. Chacune des trois Personnes divines cherche l’homme perdu, comme le Seigneur l’a montré dans les trois paraboles de Luc 15 : Nous voyons Jésus en cet homme qui, ayant perdu une brebis parmi les cent, laisse les quatre-vingt-dix-neuf autres dans le désert pour aller après celle qui est perdue jusqu’à ce qu’il l’ait retrouvée. Mais lorsqu’Il l’a retrouvée, Il ne l’insulte pas, ne la frappe pas, ne la menace pas, ni ne la tire par les oreilles pour l’amener de force dans sa bergerie. Mais «il la met sur ses propres épaules ,bien joyeux ; et , étant de retour à la maison, il appelle les amis et les voisins , leur disant : Réjouissez-vous avec moi, car j’ai trouvé ma brebis perdue» (Luc 15:5-6). Quelle manière ! Tout est joie et amour.
2. La drachme perdue
De plus nous voyons le Saint Esprit représenté dans cette femme qui, ayant perdu une drachme parmi les dix qu’elle possède, arrête toute autre activité et se met à la recherche de celle-ci. Elle sait que la drachme est une pièce de monnaie qui ne fera pas de bruit pour se signaler. La drachme n’a pas de vie et donc ne peut se mouvoir. Cette femme ne reste pas les bras croisés et ne dit pas : «ce n’est pas grave, les neuf autres me suffisent». Mais elle allume une lampe pour voir la drachme cachée dans les ténèbres. Si cela ne suffit pas, elle balaie la maison et cherche avec soin et diligence jusqu’à ce qu’elle la retrouve. Et «l’ayant trouvée, elle assemble les amies et les voisines, disant : Réjouissez-vous avec moi, car j’ai trouvé la drachme que j’avais perdue» (Luc 15:9).
3. Le fils prodigue
Enfin nous voyons le Père dans cet Homme qui avait deux fils. «Le plus jeune d’entre eux dit à son père : Donne-moi la part du bien qui me revient. Et il leur partagea son bien. Et peu de jours après ,le plus jeune fils, ayant tout ramassé, s’en alla dehors en un pays éloigné ; et là il dissipa son bien en vivant dans la débauche. Et après qu’il eut tout dépensé, une grande famine survint dans ce pays-là ; et il commença d’être dans le besoin. Et il s’en alla et se joignit à l’un des citoyens de ce pays-là et celui-ci l’envoya dans ses champs pour paître des pourceaux. Et il désirait de remplir son ventre des gousses que les pourceaux mangeaient ; et personne ne lui donnait rien. Et étant revenu à lui-même, il dit : Combien de mercenaires de mon père ont du pain en abondance, et moi je péris ici de faim !» (Luc 15:11-17). Quel fils indigne que celui-ci ! Il ressemble étrangement à l’homme pécheur qui étant en relation avec Dieu par le souffle de vie décide de ne plus reconnaître Dieu comme son Créateur et son Père. La pensée de l’indépendance, de la propre volonté, de l’obstination et de l’égoïsme l’envahit et il décide d’aller dans un pays éloigné, symbole du monde : c’est la séparation. Là, il dissipe tous ses biens c’est-à-dire tout ce que Dieu lui a naturellement donné en tant qu’homme. Dans ce monde où Dieu est absent, il est livré à lui-même et laisse libre cours à sa chair : c’est la vie de débauche, la sensualité qui entraîne la destruction physique et spirituelle. Mais que peut donner le monde à celui qui a soif ? Il se rend très vite compte que ce qui faisait l’objet de sa joie n’est qu’un élixir. Il connaît la famine, l’âme souffrant d’un manque de nourriture. Réalisant sa solitude et son manque, il se met au service du diable ; citoyen du pays qui, sans prendre connaissance de ses besoins réels, l’envoie dans ses champs, garder les pourceaux. L’humiliation est à son comble, le péché est ce qui l’environne ; le fils indigne ne fait que s’enfoncer. Lui qui était fils d’un père riche qui dormait dans une belle demeure et avait des serviteurs, le voilà qui descend au plus bas de l’échelle sociale, avec les pourceaux. Il finit par ne plus rien avoir à manger enviant même les gousses, nourriture des porcs dont il ne pouvait même pas se nourrir. Le diable n’est pas l’ami de l’homme et ne l’aime pas.
Ceux qui se sont confiés à lui en savent quelque chose. Le fils indigne se souvient de la maison paternelle où il y a tout en abondance. Il entre en lui-même : c’est le réveil et la prise de conscience. Il prend une ferme résolution et se dit : «Je me lèverai et je m’en irai vers mon père, et je lui dirai : Père, j’ai péché contre le ciel et devant toi ; je ne suis plus digne d’être appelé ton fils ; traite-moi comme l’un de tes mercenaires .Et se levant, il vint vers son père» (Luc 15:18-20).
Le fils indigne fait un retour en arrière : c’est la conversion, ensuite il se repent et après il confesse ses fautes tout en gardant dans sa mémoire le message qu’il dira à son père. Mais il lui manque quelque chose : Il ne connaît pas le cœur du père, ses intentions, sa bonté et sa manière d’accueillir ceux qui s’éloignent de lui. Et à cause de cette méconnaissance, il espère seulement que son père le traitera comme l’un de ses mercenaires ! Or, «comme il était encore loin, son père le vit et fut ému de compassion, et, courant à lui, se jeta à son cou et le couvrit de baisers» (Luc 15:20).
Qu’aurions-nous fait à sa place ? Nous l’aurions traité comme un vaurien pour ensuite le renier parce que nous l’aurions jugé indigne de porter notre nom. Mais le père était différent ; il fut ému de compassion, courut à sa rencontre, se jeta à son cou, méprisa ses odeurs, sa saleté et la vétusté de ses haillons. Le père oublia qu’il pouvait se salir et le couvrit de baisers. Quelle manière ! Après que le fils indigne eut confessé ses fautes, «le père dit à ses esclaves : Apportez dehors la plus belle robe, et l’en revêtez ; et mettez un anneau à sa main et des sandales à ses pieds ; et amenez le veau gras et tuez-le ; et mangeons et faisons bonne chère ; car mon fils que voici était mort et il est revenu à la vie ; il était perdu, et il est retrouvé» (Luc 15:22-24).
Dieu veut que tous les hommes soient sauvés. Il est prêt à donner la robe de la justice à quiconque se repent. Inutile de repousser à demain la grâce qui t’est donnée aujourd’hui. Que mon lecteur sache qu’«il y a de la joie devant les anges de Dieu pour un seul pécheur qui se repent» (Luc 15:10).
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