La Clé du Paradoxe ou les Conditions pour Avoir la Vie

La clé de ce paradoxe pourrait peut-être se trouver dans une idée qui revient tout au long de cette épître: Hébreux
Retenons fermement la profession de notre espérance, car celui qui a fait la promesse est fidèle. - Hébreux 10.23
Car nous sommes devenus participants de Christ, pourvu que nous retenions fermement jusqu'à la fin l'assurance que nous avions au commencement,... - Hébreux 3.14
...demeurons fermes dans la foi que nous professons. - Hébreux 4.14
...nous dont le seul refuge a été de saisir l'espérance qui nous était proposée. - Hébreux 6.18
Cette foi, cette espérance est nécessaire à la vie chrétienne, et les exemples d'Hébreux 11 sont là pour nous le prouver. Si le salut est gratuit, si celui qui a fait la promesse est fidèle pour la tenir, notre part est de retenir fermement ce qui nous a été donné gratuitement, cette espérance merveilleuse dont il est question dans cette épître, mais il est vrai que cela demande des efforts.
D'ailleurs, si nous comparons différentes versions pour le passage d'Hébreux 10.23, nous voyons que pour conserver cette « pleine certitude de l'espérance » (versions Ostervald, Martin et Bible Annotée), une démarche est nécessaire; il faut de l' « ardeur » (Ostervald), du « soin » (Martin), du « zèle » (Bible annotée, Second) ou de la « diligence » (Darby). Tous ces synonymes montrent bien qu'il y a un effort à faire, à fournir.
Il est intéressant aussi de noter que l'apôtre termine son épître par des exhortations qui me semblent être la réponse aux avertissements donnés. Après avoir montré la grandeur du salut dont nous sommes au bénéfice, après avoir démontré les conséquences de l'incrédulité et de l'état continuel de péché, l'auteur nous explique par les exhortations du chapitre 12 comment faire pour conserver cette espérance, pour persévérer dans ce chemin étroit. En voici les points-clés:
Rejeter le péché
Nous donc aussi, puisque nous sommes environnés d'une si grande nuée de témoins, rejetons tout fardeau, et le péché qui nous enveloppe si facilement, et courons avec persévérance dans la carrière qui nous est ouverte... (v.1)
Garder les yeux fixés sur Jésus, l'exemple parfait
... ayant les regards sur Jésus, le chef et le consommateur de la foi, qui, en vue de la joie qui lui était réservée, a souffert la croix, méprisé l'ignominie, et s'est assis à la droite du trône de Dieu. Considérez, en effet, celui qui a supporté contre sa personne une telle opposition de la part des pécheurs, afin que vous ne vous lassiez point, l'âme découragée. Vous n'avez pas encore résisté jusqu'au sang, en luttant contre le péché. (v.2-4)
Ne pas mépriser le châtiment de Dieu (comme Israël l'a fait), mais le supporter
Et vous avez oublié l'exhortation qui vous est adressée comme à des fils: Mon fils, ne méprise pas le châtiment du Seigneur, et ne perds pas courage lorsqu'il te reprend; Car le Seigneur châtie celui qu'il aime, Et il frappe de la verge tous ceux qu'il reconnaît pour ses fils. Supportez le châtiment: c'est comme des fils que Dieu vous traite; car quel est le fils qu'un père ne châtie pas? Nos pères nous châtiaient pour peu de jours, comme ils le trouvaient bon; mais Dieu nous châtie pour notre bien, afin que nous participions à sa sainteté. Il est vrai que tout châtiment semble d'abord un sujet de tristesse, et non de joie; mais il produit plus tard pour ceux qui ont été ainsi exercés un fruit paisible de justice. (v.5-11)
L'obéissance
D'ailleurs, puisque nos pères selon la chair nous ont châtiés, et que nous les avons respectés, ne devons-nous pas à bien plus forte raison nous soumettre au Père des esprits, pour avoir la vie? (v.8)
Ce qui rejoint Hébreux 5.9:
(C’est lui Jésus)...qui, après avoir été élevé à la perfection, est devenu pour tous ceux qui lui obéissent l'auteur d'un salut éternel,...
Il est intéressant de noter que l’apôtre parle d’un salut éternel, mais qu’il est bien conditionnel, vu qu’il est destiné « pour tous ceux qui lui obéissent ». Quant à l’expression « un salut éternel », nous pourrions faire les mêmes remarques que celles faites dans le chapitre 2 sur la vie éternelle.
La sanctification
Fortifiez donc vos mains languissantes et vos genoux affaiblis; et suivez avec vos pieds des voies droites, afin que ce qui est boiteux ne dévie pas, mais plutôt se raffermisse. Recherchez la paix avec tous, et la sanctification, sans laquelle personne ne verra le Seigneur. Veillez à ce que nul ne se prive de la grâce de Dieu; à ce qu'aucune racine d'amertume, poussant des rejetons, ne produise du trouble, et que plusieurs n'en soient infectés. (v.12-15)
Dieu nous châtie pour notre bien, afin que nous participions à sa sainteté. (v.10)
La persévérance
...courons avec persévérance dans la carrière qui nous est ouverte... (v.1)
...afin que vous ne vous lassiez point, l'âme découragée. (v.3)
Écouter la voix de Dieu
Gardez-vous de refuser d'entendre celui qui parle; car si ceux-là n'ont pas échappé qui refusèrent d'entendre celui qui publiait les oracles sur la terre, combien moins échapperons-nous, si nous nous détournons de celui qui parle du haut des cieux... (v.25)
Ce verset fait écho avec la première exhortation de cette épître, en Hébreux 2.2-3:
Car, si la parole annoncée par des anges a eu son effet, et si toute transgression et toute désobéissance a reçu une juste rétribution, comment échapperons-nous en négligeant un si grand salut...?
Toutes ces exhortations rejoignent celle de l'apôtre Paul, non pas que le salut s'acquiert par des oeuvres, loin de là, mais comme nous le disions, c'est à nous de travailler pour garder ce précieux trésor:
Ainsi, mes bien-aimés, comme vous avez toujours obéi, travaillez à votre salut avec crainte et tremblement, non seulement comme en ma présence, mais bien plus encore maintenant que je suis absent... - Philippiens 2.12
Conclusion
Ainsi, suite à cette étude, je peux affirmer que j’ai l’assurance de mon salut. Je sais que je le possède et je ne crains pas de le perdre tant que je marche dans le chemin étroit et que je ne m’en détourne pas. Il est vrai qu’il y a dans la Bible des versets qui nous montrent clairement que l’on peut perdre son salut, mais ils sont là non pour me faire vivre dans la crainte, mais pour que je sois vigilante tous les jours de ma vie, et que je continue ma vie chrétienne avec le même but: Jésus-Christ!
En guise de conclusion, j'aimerais encore partager l’illustration suivante que j'ai beaucoup aimée. Il me semble qu'elle explique et résume bien comment tenter de comprendre le paradoxe de cette épître aux Hébreux, et du reste de la Bible, en ce qui concerne cette question de salut.
« Pour répondre aux besoins divers des âmes, les deux faces de notre condition terrestre doivent nous être également présentées. Nous avons un abîme à traverser pour parvenir sur la rive escarpée du salut éternel ; la grâce de Dieu a jeté un pont sur cet abîme. Engagé sur l'étroit passage, je pourrais être saisi de crainte, de doute, de découragement : voici à ma droite une barrière, c'est l'assurance de la foi fondée sur la grâce éternelle de mon Dieu. Ou bien, je pourrais me laisser choir par une présomption orgueilleuse, une fausse sécurité, un relâchement charnel : voici à ma gauche une autre barrière, c'est l'avertissement solennel qui me montre la possibilité effrayante de me perdre.

Ainsi prémuni, l'enfant de Dieu ne se rejettera ni à droite ni à gauche, mais marchera droit vers le but, et il y parviendra pour donner toute gloire à la grâce de son Dieu. (9)»

Ne passez pas à côté des choses simples

Il y a des gens qui croient et il y a des gens qui ne croient pas.

Certains ne se sont pas plus posé la question de savoir ce qu'ils croyaient que d'autres de savoir ce qu'ils ne croyaient pas.
Certains croient à des choses incroyables d'autres refusent de croire à des choses évidentes.
Bref, ne cherchez pas trop à comprendre: il y a des gens qui croient et il y a des gens qui ne croient pas!
Personnellement je crois mais je sais ce que je crois. Je ne crois pas seulement ce que je vois, car sinon je nierais l'existence des atomes et des ondes, mais je crois aussi des choses que je ne vois pas mais qui sont pourtant dignes d'être crues.

1. La Bible

Ce que je crois est consigné dans un livre exceptionnel et unique: la Bible.
A-t-on jamais entendu parler d'un livre écrit il y a des millénaires, qui se trouve aujourd'hui dans toutes les librairies et qui détient toujours le record mondial des ventes ?
Allez expliquer de façon logique que plus de 40 auteurs, dont la plupart ne se connaissaient pas, vivant dans des pays différents sur une période de 16 siècles, représentant tous les niveaux de l'échelle sociale, se soient mis d'accord pour écrire un livre caractérisé par une unité de pensée fantastique, un message bouleversant qui a transformé radicalement des milliers de vies, un livre qui se présente comme la Parole de Dieu.

2. Dieu

Dans la Bible Dieu se révèle comme
  • le créateur de toutes choses,
  • celui qui aime
  • celui qui est parfaitement juste.
C'est dire qu'on ne peut le tenir coupable d'aucune injustice ni d'aucun manque d'amour; il nous faut en chercher l'origine ailleurs.
Si Dieu est Dieu, et si l'homme est sa créature, il est vain de demander à l'homme d'expliquer Dieu, mais il est sage de demander à Dieu d'expliquer l'homme.

3. L'homme

Créé par Dieu l'homme n'est pas seulement un arrangement judicieux de molécules, il possède la vie et la capacité de communiquer avec son créateur. La Bible nous apprend le début de nos problèmes: l'homme a rompu sa relation avec Dieu en désobéissant. Aujourd'hui, comme alors, l'homme cherche, de façon confuse ce bonheur perdu qui ne se trouve nulle part ailleurs que dans une relation vivante avec Dieu. La Bible nous dit sans ambages que l'homme est perdu .
N'y a-t-il devant nous que le désespoir d'une éternité loin de Dieu? Dieu ne pourrait-il pas faire quelque chose?
Dieu a déjà fait quelque chose.

4. Jésus-Christ

Sa Personne : Pour que l'homme puisse retrouver sa relation avec Dieu, Dieu s'est fait homme en Jésus Christ. Parfaitement Dieu et parfaitement homme, Jésus Christ a été ici bas ce que nous aurions dû être. Il fut exactement l'homme selon la pensée de Dieu: un homme dépendant, obéissant, exempt de fautes, ne faisant que le bien.
Son Oeuvre : Son insupportable perfection entraîna son rejet: il fut mis à mort sur une croix. Sa perfection sans faille le qualifia pour payer devant Dieu l'immense dette du péché du monde. Placé

Vie et Oeuvre de Jésus Christ




L'incarnation de Jésus Christ (Philippiens 2:5-11 Philippiens 2:5-11)
C'est l'acte par lequel le Fils de Dieu a revêtu volontairement un corps humain (Jean 1:1 et 14 Jean 1:1-14). Annoncé par de nombreuses prophéties, Jésus est venu "au temps convenable" c'est à dire au moment et au lieu fixés par Dieu lui-même (Romains 5:6 Romains 5:6; Daniel 9:24-26 Daniel 9:24-26; Michée 5:1 Michée 5:1). Il naquit sous l'empereur romain Auguste (Luc 2:1 Luc 2:1).
Son incarnation suppose sa préexistence (Jean 16:27-30 Jean 16:27-30); elle s'est faite d'une façon miraculeuse par l'intermédiaire de Marie (Luc 1:35 Luc 1:35). Ainsi Jésus devint le seul homme sans péché (1 Pierre 2:22 1 Pierre+2:22; 2 Corinthiens 5:21 2 Corinthiens+5:21; 1 Jean 3:5 1 Jean+3:5).

Cette incarnation était nécessaire pour achever la révélation de Dieu à l'homme (Jean 1:18 Jean 1:18), mais aussi pour accomplir l'oeuvre de notre salut (2 Corinthiens 5:21 2 Corinthiens+5:21).

L'expiation (Luc 23:33-49 Luc 23:33-49)
C'est l'acte par lequel on paye, par la peine qu'on subit, un crime ou une faute.
Non seulement les iniquités de l'homme font séparation entre Dieu et lui (Esaïe 59:2 Esaïe 59:2) mais l'homme est incapable de se racheter lui-même. (Psaume 49:7-8 Psaume 49:7-8).

L'expiation accomplie par Jésus Christ était donc indispensable pour le salut de l'homme. On peut la considérer sous différents aspects:
La Substitution (Esaïe 53:5 Esaïe 53:5): Christ prend notre place devant Dieu.
La Réconciliation (2 Corinthiens 5:19-20 2 Corinthiens+5:19-20): Il rétablit notre relation avec Dieu.
La Rédemption (Jean 8:36 Jean 8:36) : Christ nous rachète pour Dieu.

La résurrection de Jésus Christ (Matthieu 27:57 à 28.20 MAT 27.57-28.20)
Annoncée plusieurs fois par le Seigneur (Matthieu 12:38-40 Matthieu 12:38-40) elle eut lieu le troisième jour après sa mort et cela malgré de multiples obstacles: le corps de Jésus était enveloppé de bandelettes, le sépulcre fermé par une lourde pierre, la garde romaine était mobilisée et le tombeau scellé.
La résurrection de Christ est un fait capital: Paul écrira aux Corinthiens: "Si Christ n'a pas été ressuscité votre foi est vaine, vous êtes encore dans vos péchés"(1 Corinthiens 15:17 1 Corinthiens+15:17).

La résurrection a des conséquences glorieuses: elle montre que Dieu est satisfait par l'oeuvre de Christ; le croyant peut donc être justifié (Romains 4:24-25 Romains 4:24-25). Il est libéré de l'esclavage de Satan et de la crainte de la mort (2 Timothée 1:10 2 Tim+1:10; Hébreux 2:15 Hébreux 2:15).

L'ascension de Jésus Christ (Actes 1:9-11 Actes 1:9-11)
Si la mission de Christ sur la terre a commencé par son incarnation, elle se termine par son ascension. Celui qui, étant Dieu s'est fait homme, remonte auprès du Père en tant qu'homme. (Jean 16:28 Jean 16:28; Jean 17:5 Jean 17:5) Cet événement avait été prédit plusieurs fois (Cp. Psaume 110:1 Psaume 110:1 et Actes 2:33-36 Actes 2:33-36; Jean 14:28 Jean 14:28; Jean 16:4-7 Jean 16:4-7)
Ainsi Jésus Christ occupe une nouvelle place dans le ciel: il est Souverain Sacrificateur (Hébreux 5 Hébreux 5), Intercesseur (Romains 8:34 Romains 8:34), Avocat (1 Jean 2:1-2 1 Jean+2:1-2), Roi et Seigneur (Apocalypse 19:16 Apocalypse 19:16), il a toute autorité (Matthieu 28:18 Matthieu 28:18) et il est établi juge des vivants et des morts (Actes 17:31 Actes 17:31).

Le retour de Jésus Christ (1Thessaloniciens 4 :13-18 1Thessaloniciens 4+:13-18)
De nombreux passages nous parlent du retour de Jésus Christ (Jean 14 Jean 14; 1 Corinthiens 15:51-58 1 Corinthiens+15:51-58; Philippiens 3:20-21 Philippiens 3:20-21); dans cette attente les croyants le servent et sont ses témoins (1 Thessaloniciens 1:9-10 1 Thessaloniciens+1:9-10; Actes 1:6-11 Actes 1:6-11).

REMBRANDT - JÉSUS DANS TOUS LES TALBLEAUX

J`ai um livre avec les plus grands écrivains, peintres, musiciens, etc. dans ce livre un des personages c`est Rembrandt, et quelques des ses peitures les plus célèbres, la qui prend mon regarde plus fréquenmment c`est : La Ronde de Nuit, appelé encore La Compagnie du Capitaine Banning Cock ou encore Le Concours de Tir. Ce tableau  a été commandé à Rembrandt en 1640 para la compagnie de arquebusiers. Lorsque après deux annèes de travail le peintre ouvrit les portes de son atelier, le tableau fit scandale. Très curieusement, ce tableau est connu surtout sous son titre Ra Ronde de Nuit bien que la lumière qui éclate ce tableau soit celle du soleit. Ce qui peut prêter à confusion, c`est le clair-obscur caractéritique de Rembrandt qui met certains personnages en lumière et d`autres dans un semi-obscurité. D`ailleurs cela contribua à l`échec momentané de ce tableu : les personnages mis dans l`ombre para Rembrandt n`apprécièrent pas du tout !
Dans cette toile où l`on voit des hommes en armes faisant leur ronde, apparaît au milieu d`eux un personnage un peu tantomatique : une femme, dans un halo de lumière presque irréelle. Il s`agit de Saskia, la femme de Rembrandt qui, à l`époque, était très malade. Elle mourra d`ailleurs l`année où Rembrandt achève son tableau. C`est évident : Saskia n`a rien à voir ici…elle n`a rien à faire sur cette toile. Il n`y a qu`une seule explication : Rembrandt n`a pu s`empêcher de la mettre là, d`immortaliser une dernière fois cette femme qu`il aimait, cette femme avec laquele il n`avait connu que quelques années de bonheur puisqu`elle est décédée après huit ans de mariage, à peine touchée par te temps : elle n`avait pas trente ans. On comprend que Rembrandt, la sachant malade et la voyant mourir sous ses yeux, ait voulu l`immortaliser en la plaçant dans ce tableau. Et l`on est frappé par le visage souriant de sa femme. Reflète-t-il l`espérance de la vie éternelle, de la résurrection ? On ne le sait pas. Ce qui est sûr, c`est que Rembrandt a toujours été préoccupé par l`au-delà, par Dieu. Certains critiques pensent même qu`après la mort de sa femme en 1642, après tous les deuils douloureux qui ont marqué sa vie, il s`est réellement approché de Dieu et a rencontré ce Christ qu`il a peint tant de fois et si merveilleusement. Quoi qu`il en soit – et bien que cela ait déplu à beaucoup – Saskia est là, présente dans cette œuvre.
Cette reprodution me fait penser à une parole de l`apôtre Pierre devant le tribunal des juifs, le même qui

La Pratique de la Vie Chrétienne

1. Les raisons de lire la Bible
Elle n'est pas un livre humain mais la Parole de Dieu (1 Th 2.13
Elle est la vérité pour tous les hommes de tous les temps (Jn 17.17; Ps 119.142,151,160; Col 1.5)
Elle est immuable, elle ne passera pas (Mt 24.35; 1 P 1.25; Ps 119.89)
Elle est unique et différente de tous les autres livres (Dt 4.5-8)
Elle est le seul moyen pour connaitre Dieu, ses pensées, son salut (Jn 20.31)

2. Les effets de la lecture de la Bible
Toute écriture est inspirée de Dieu et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour instruire dans la justice, afin que l'homme de Dieu soit accompli et parfaitement accompli pour toute bonne oeuvre.(2 Tm 3.16). D'autre part la Bible
Engendre la vie de Dieu (Jc 1.18; 1P 1.23)
Est une nourriture pour l'âme (Mt 4.4)
Conduit dans la vérité (Ps 119.105)
Communique des certitudes (1 Jn 5.13) ainsi que l'Espérance (Rm 15.4)
Convainc de péché et corrige nos conceptions ou attitudes fautives (Hb 4.12)
Nous prévient des dangers du péché et éclaire notre chemin (Ps 119.9,105)
Il y a une grande bénédiction personnelle à lire et à mettre en pratique la Parole de Dieu, celui qui le fait - outre les difficultés dont il n'est pas exempt est:
Bienheureux dans son faire ( Jc 1.25)
Porte du fruit et tout ce qu'il fait prospère (Ps 1.1-3; Jo 1.8)

3. Les conditions favorables à une lecture fructueuse
Nous ne pouvons pas la Bible comme s'il s'agissait d'un quelconque livre. Il convient
D'être pénétré de son caractère sacré: c'est la révélation de Dieu (Ga 1.11-12)
De s'en approcher avec prière (Ps 119.18,27,33) car c'est Dieu seul qui peut ouvrir notre intelligence pour que nous la comprenions (Lc 24.45 Lc 8.15)
De s'en approcher avec ouverture de coeur, sincérité et humilité Ps 119.10
D'avoir le réel désir de mettre en pratique ce que l'on apprend (Jc 1.22-24; Mt 7.24)

4. La méditation personnelle de la Bible
C'est tout à la fois une responsabilité et un privilège que de lire, méditer et étudier la Bible (Ps 1.2; Jo 1.8; Dt 17.18-19; Ac 17.11).Il faut le faire avec intelligence, diligence, persévérance.
S'appliquer à bien comprendre le sens (Lois du contexte historique, biblique, culturel etc... A qui cela est-il écrit, à quel moment, pourquoi ?
Quel enseignement personnel puis-je en tirer ?
Suis-je prêt a faire un effort pour continuer la lecture ou est-ce que je m'arrête à la première difficulté ?
Suis-je prêt à mémoriser un verset .... et à le mettre en pratique ? (Ps 119.11)

SONDEZ LES ECRITURES

JEAN 5.39