L'évolution: science ou Dogme?


Les étudiants sont abondamment exposés à la théorie de l'évolution. On la rencontre dans les cours de biologie, dans les cours d'histoire voire même de philosophie. Dans les sciences sociales on la prend pour acquise. À la télé, on ne peut l'éviter. Si on écoute une émission sur un sujet scientifique, la théorie de l'évolution est prise pour un fait. Jamais, on ne la remet en question, sinon sur des détails insignifiants. Pourtant, la remise en question est la règle en science: "La question et/ou le doute est le moteur qui va initier la mise en place d’une expérience. On n’ira pas vérifier ce dont on est intimement persuadé. Sans scepticisme initial, des expériences produites pour vérifier un dogme religieux ou une option spirituelle seraient déjà des perversions de la science. La science en tant qu’institution est un vaste scepticisme organisé." Guillaume Lecointre (Muséum national d'histoire naturelle, Paris).
Le problème c'est que cette belles paroles ne sont jamais appliquée au dogme de l'évolution qui malgré toutes ses incohérences est intouchable. On se contente d'insulter sa partie adverse en essaiyant de la stigmatiser plutôt que d'entamer un vrai débat.

"Il reste beaucoup d'énigmes dans notre compréhension de la vie. Par exemple, nous avons peu de lumières sur la façon dont se forment les espèces. Nous ignorons encore le rôle de certains composants de la cellule vivante. Bref, l'histoire n'est pas finie! Ce qui est exclu, c'est que la théorie darwinniene soit abandonnée." (La théorie de l'évolution est-elle en crise ? Sciences et Avenir hors série no. 134, 2003: 8-9)

La pensée unique... Il serait difficile de trouver un meilleur exemple d'intégrisme darwinien, le dogme avant tout. Une telle affirmation serait sans doute admirée des islamistes, chez qui toute critique de l'islam (caricatural ou non) est aussi inadmissible, exclue. Pourquoi un abandon éventuel du darwinisme serait-il exclu d'office? D'autres théories scientifiques ont, par le passé, été critiquées et abandonnées et la planète continue de tourner malgré tout... Autre perle:

Le créationnisme ne relève pas de la science mais de la mythologie et le Dessein intelligent relève également de la mythologie. On tente de lui donner un aspect scientifique, mais il est clair que ça n’a rien à voir.

Si on examine ce type de réaction, cela se réduit en somme à l’affirmation suivante: «Nous n’écouteront pas vos arguments et nous empêcherons par tous les moyens leur diffusion, car ils ne respectent pas un dogme que nous tenons pour absolu.»

Il y a un paradoxe dans le concept que le darwinisme soit à la fois un fait irréfutable et, d'autre part, si fragile qu'on ne puisse admettre quelque critique que ce soit à son sujet dans le contexte scolaire ou académique. Pourquoi devons-nous respecter une théorie simplement parce qu’on lui a collé l'étiquette scientifique ? Albert Camus, dans L'Homme révolté note 1951: 153) :

"Les échafauds apparaissent comme les autels de la religion et de l'injustice. La nouvelle foi ne peut les tolérer. Mais un moment arrive où la foi, si elle devient dogmatique, érige ses propres autels et exige l'adoration inconditionnelle."

Les français ont lutté pour obtenir la libertée de pensée, allons nous accepter sans rien dire ce nouvel intégrisme qui ne dit pas son nom?

Tout est question d'honnêteté intellectuelle et de courage. Sans ça il est impossible de bâtir. Et il est difficile de remettre en question l'évolution des espèces parce que cela semble toucher à une foi... irrationnelle et intégriste.

(Lire http://www.samizdat.qc.ca/cosmos/origines/creation.htm)

Une théorie de l'évolution à géométrie variable
Les deux premiers principes de la thermodynamique sont confirmés par l'observation et les découvertes scientifiques. Tout le contraire de l'évolution. Chaque nouvelle découverte oblige à replâtrer et rafistoler la théorie de l'évolution.
il n'y a plus une mais plusieurs théories contradictoires de l'évolution (darwinisme, théorie synthétique, neutralisme, équilibres ponctués, mutationnisme, néodarwinisme, macroévolution, ...)

Une grande contradiction existe entre l'évolution et les découvertes scientifiques. Dans des domaines comme l'origine de la vie, la génétique de population, l'anatomie comparative, la paléontologie, les systèmes biochimiques, la théorie de l'évolution est en pleine " crise ". Cette définition a été faite par le professeur Michael Denton, célèbre biochimiste. Denton dans son ouvrage publié en 1985 et intitulé " Evolution :A Theory in Crisis " (L'évolution :une théorie en crise) a étudié sous la lumière de différents domaines scientifiques la théorie de l'évolution. ( Michael Denton, Evolution: A Theory in Crisis. London: Burnett Books, 1985) Denton n'a pas critiqué le Darwinisme pour démontrer la véracité d'une autre idéologie "créationniste", il a simplement confronté cette théorie de l'évolution avec les découvertes scientifiques. Ces 20 dernières années d'autres nombreux chercheurs ont mené d'important travaux scientifiques portant sur l'invalidité de la théorie de l'évolution. La crise dans laquelle est tombée la théorie de l'évolution est clairement visible pour qui se donne la peine de regarder.
Examinons donc cette histoire et voyons si l'évolution est un fait scientifique ou s'il s'agit de la plus grande mystification jamais vue; voyons si nous ne trouvons pas effectivement de nombreux indices du déclin de la probité scientifique et de l'entrée en scène, juste pour soutenir cette théorie de l'évolution de la fraude.

Fraudes intentionelles pour "prouver" l'évolution
L'homme de Piltdown
Pendant 40 ans des millions d'étudiants ont contemplé des représentations de l'homme de Piltdown (ou de Dawson) "reconstitué", dont la silhouette ornait les parois de tous les musées du monde. On avait trouvé (en 1912) le "chaînon manquant" de l'évolution: l'homme - singe de Darwin !
Quarante ans plus tard, lorsqu'on eut découvert le test au fluorure, on y soumit la mâchoire et le crâne. Il en résulta que le crâne (d'homme) n'était pas vieux de 500.000 ans comme on l'affirmait, mais seulement d'environ 2 000 ans! Quant à la mâchoire (de singe), elle n'avait que quelques douzaines d'années! On l'examina ensuite au microscope et on découvrit que les dents avaient été soigneusement limées afin de leur donner une apparence humaine. Le tout avait été badigeonné au bichromate et aux sels de fer afin de lui donner une apparence de grand âge. La mâchoire avait été enterrée en vue d'être "découverte", probablement par le Dr. Dawson (le "découvreur"), lequel devint célèbre grâce à cet "homme de Piltdown"... une mystification destinée à prouver la théorie de l'évolution. L'Homme de Piltdown s'avéra être une fraude de A à Z.
L'évolution prouvée par le foetus?

Ces croquis falsifiés ont pendant longtemps servi de "preuves" à l'évolution
Le Professeur allemand Ernst Haeckel(1) fut l'un des premiers défenseurs de la théorie de la récapitulation embryonnaire qui dit que le développement du fœtus dans le sein d'une femme passe par toutes les étapes de l'évolution. D'une cellule unique, il devient multicellulaire... puis prend la forme d'un poisson avec des branchies... puis celle d'un singe avec une queue... puis finalement devient un être humain, ayant ainsi récapitulé tous les stades supposés de l'histoire imaginaire de l'évolution humaine.
C'est au siècle dernier que le professeur allemand Ernst Haeckel émit cette théorie. Il était un ardent partisan de Darwin. Toutefois, quelques années plus tard, lorsque ses croquis du fœtus furent examinés attentivement et à la lumière d'une connaissance plus grande du fœtus devenue possible, on y décela des altérations et déformations qui s'avérèrent être intentionnelles. Le prof. Haeckel fut traduit devant le tribunal de l'Université de Iena et reconnu coupable. Il avoua "avec contrition" ses falsifications qui avaient été pratiquées dans l'intention soi-disant de soutenir le dogme de l'évolution.
De plus, Haeckel ajouta: "Je suis condamnable à cent pour cent... si ce n'était le fait que des centaines des meilleurs observateurs et biologistes se trouvent sous la même condamnation".
Malgré celà cette hypothèse de la récapitulation embryonnaire continue à être enseignée dans plusieurs écoles, alors que sa fausseté est un fait établi depuis de nombreuses années. Cette théorie de la récapitulation embryonnaire a été pendant plus de cent ans enseignée à des millions et des millions d'étudiants; on leur a dit que "l'ontogenèse récapitulait la phylogenèse", que la croissance du fœtus, et l'embryon confirmaient l'évolution... C'est un mensonge délibéré ! En effet, tout porte à croire que l'affirmation du Dr. Thompson selon laquelle "l'avènement du darwinisme a eu comme corollaire le déclin de la probité scientifique" est exacte, au moins dans ce cas précis.

(1)Les thèses de Haekel sont l'une des principales cautions du racisme scientifique et de l'eugénisme d'Hitler (Biological Sciences and the Roots of Nazism’, American Scientist 76:56, January–February 1988)

Le pithécanthrope
Et puis, bien sûr, il y a le fameux Pithecanthropus erectus. Cette expression signifie "homme-singe se tenant debout". Le "pithécanthrope" fut découvert par Eugène Dubois, un Hollandais, qui partit de Hollande pour Java tout exprès pour découvrir un homme singe. Or, cela est assez révélateur en ce qui concerne l'objectivité scientifique lorsque quelqu'un se met dans l'idée de parcourir la moitié du globe pour trouver un homme-singe... et voilà! - il le trouve!
Toutefois, Dubois ne voulut montrer sa trouvaille à personne. Tout ce qu'il montrait était un moulage en plâtre qu'il disait avoir fait à partir du crâne. Il avait trouvé une calotte crânienne et un fémur (os de la cuisse). Il était parfaitement clair que le fémur était humain et que le crâne appartenait à un singe. Mais Dubois, affirmant qu'ils avait appartenu au même individu, les plaça côte à côte et nomma cette association Pithécantrope (Pithecanthropus erectus).
Mais Eugène Dubois commit plusieurs omissions préméditées. Il omit de dire au monde que le fémur avait été découvert à environ 15 mètres en aval de la calotte crânienne. Il "oublia" également de dire qu'au même niveau que la calotte crânienne simiesque du "pithécanthrope" (c.à.d. dans la même couche) il avait trouvé deux crânes humainsd'une capacité crânienne d'environ 1500-1650 cm3, ce qui est plus que la moyenne normale. Dubois* conserva ces deux crânes d'homme moderne sous le plancher de sa chambre à coucher pendant 26 ans, car il savait que s'il révélait au monde qu'il les avait trouvés dans la même couche que la calotte simiesque et donc qu'ils étaient contemporains, c'en était fait de l'existence de son "pithécanthrope" et de sa supposée qualité d'ancêtre de l'homme. Avant sa mort, Dubois finit par admettre que sa fameuse calotte avait appartenu à un grand gibbon et non pas à quelque espèce d'homme-singe. Ce qui n'empêche pas les évolutionnistes de continuer à utiliser cette "découverte" comme "preuve de l'évolution".
(* Dubois et Haeckel ont entretenu de la correspondance. Les faussaires étaient non seulement amis, mais complices)

L'homme de Neandertal (ou Neanderthal): un homme moderne avec une maladie des os
Nous en arrivons maintenant à une autre découverte célèbre : l'homme de Neandertal. Au siècle dernier, un certain nombre de squelettes furent découverts dans la vallée de la Neander près de Düsseldorf, en Allemagne. Ils furent reconstruits par un paléontologue du nom de Boule. Ces reconstitutions commencèrent alors à orner les murs des musées et les manuels scolaires partout dans le monde! Vous vous souvenez peut être de ces représentations des hommes de Néanderthal ils ont le dos rond, marchent sur le bord extérieur de la plante des pieds, portent une masse sur l'épaul, et traînent derrière eux leurs femmes par les cheveux. Que ne voilà pas de parfaits hommes-singes!
On découvrit plus tard que l'homme de Neandertal était un homme qui souffrait de rachitisme et d'ostéoarthrite (ce qui explique son dos rond), mais aussi que Boule, qui avait à sa disposition tout un assortiment d'os, les avait assemblés de telle façon que l'homme de Néanderthal avait plutôt l'apparence d'un singe. En fait, le squelettte fut reconstruit d'une façon incroyable; par exemple, le gros orteil fut retourné et placé à l'extérieur du pied comme si ce fût un orteil opposé, comme celui d'un singe: cette particularité était présumée obliger l'homme de Néanderthal à marcher sur le bord extérieur de la plante du pied.
On peut difficilement s'empêcher de conclure que Boule avait prémédité de reconstruire ces créatures pour leur donner une apparence simiesque. Les savants modernes sont tout naturellement arrivés à la conclusion qu'il s'agissait là d'une erreur colossale. C'est le moins en effet qu'on puisse dire. Mais, en attendant, des millions de personnes ont été (et continuent d'être) trompées.

On a longtemps affirmé que les néandertaliens étaient les responsables de l'industrie préhistorique caractérisée entre autres par la technique de débitage des silex dite "Levallois". Or il se trouve que cette même technique est, en Israël, associée à des fossiles d'hommes modernes! D'autre part, la fin de l'époque préhistorique moustérienne ne correspond pas non plus à l'extinction d'une hypothétique race de néandertaliens, puisqu'un squelette de ce type a été retrouvé dans un niveau "châtelperronien" à Saint-Césaire (Charente-Maritime).

Une remarque: l'homme de Neandertal possédait une capacité crânienne identique à celle de l'homme actuel, et aujourd'hui encore on peut trouver bon nombre d'individus ayant des crânes avec des formes inusuelles sans que personne ne les classe dans la famille "Neandertal"!

Les australopithèques (Lucy): des singes!

Nous en venons maintenant aux Australopithèque ou "singes du Sud", comme on les appelle. Les paléontologues concentrent maintenant leur attention sur l'Afrique d'où nous viennent des noms tels que le Zinjanthropus, l'Homo habilis, le crâne 1470 et "Lucy", la dernière trouvaille de Donald Johanson. On nous affirme avec assurance que nous avons là les précurseurs de l'homme.
Mais en est-il bien ainsi? Pour les tenants de l'hypothèse de l'évolution, il y a à considérer de très sérieux nœuds.
Lord Solly Zuckerman, un des anatomistes anglais les plus en vue, a passé quinze ans à étudier les restes de l'Australopithèque. Il est arrivé à la conclusion qu'il s'agit d'un singe à cent pour cent. Le Dr Charles Oxnard, précédemment attaché à l'Université de Chicago puis à celle de Californie du Sud, a procédé à des analyses sur ordinateur multiples et variées de ces ossements et en a conclu que les Australopithèques ne se tenaient pas debout, contrairement à ce qui avait été affirmé auparavant, mais plutôt qu'ils avaient de longs bras et marchaient en s'appuyant sur les poings "knucklewalkers"). Donc, pas du tout des pré-humains, mais simplement des singes!
Lord Zuckerman a déclaré que si l'homme a évolué à partir d'un ancêtre singe, il l'a fait sans laisser la moindre trace dans les archives fossiles. Est-ce là ce qu'on laisse entendre à vos enfants à l'école?

Où est le mea culpa pour avoir mis ces "preuves" de l'évolution dans les manuels scolaires pendant des années? Toute une génération a cru en s'appuyant sur des mensonges délibérés et n'a jamais été informée de cela.

Pour élaborer cet article sur l'évolution nous avons repris des éléments en particulier un tract intitullé "magouilles et boulettes de l'évolution". En complément, voici quelques lectures conseillées concernant l'évolution:

D'OÙ VIENT LE MONDE? Dr A.J. Monty White (197 p.)
L'EVOLUTION, UN MYTHE CROULANT, Dr. A.J. Monty White (24 p.)
LE DELUGE ET LES FOSSILES, Dr. Gary E. Parker (72 p.)
LE MONDE QUI A PERI (Whitcomb)

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