Les Thessaloniciens avaient répondu à la pensée de Dieu pour eux. Ils vivaient pleinement le propos de Dieu de sorte que l’apôtre pouvait leur dire : «Vous êtes devenus nos imitateurs et ceux du Seigneur, ayant reçu la parole, accompagnée de grandes tribulations avec la joie de l’Esprit Saint, de sorte que vous êtes devenus des modèles pour tous ceux qui croient dans la Macédoine et dans l’Achaïe... en tous lieux, votre foi envers Dieu s’est répandue, de sorte que nous n’avons pas besoin d’en rien dire» (1 Thes. 1:6-8).
Après avoir été convertis ils avaient vu et écouté son serviteur Paul ; ils avaient reçu le même salut que l’apôtre, il n’était pas difficile pour eux d’imiter celui qui avait été imitateur de Jésus-Christ. Les Thessaloniciens étaient différents de leurs contemporains ; c’étaient des hommes mis à part, sanctifiés pour servir le Dieu vivant et vrai, en contraste avec les faux dieux et les idoles qu’ils adoraient auparavant. Le changement était total et l’on ne pouvait que le constater. Il n’y avait pas de mélange et ils ne pouvaient être que des modèles pour les autres croyants. Ils servaient librement le Dieu qui les avait délivrés et entraient dans sa présence sans aucune crainte parce qu’ils avaient réalisé la richesse du sacrifice de Jésus dont ils étaient les bénéficiaires. Ils avaient aussi la connaissance du Père, nom que Jésus révèle après sa résurrection lorsqu’Il dit à Marie de Magdala «Je monte vers mon Père et votre Père, et vers mon Dieu et votre Dieu» (Jean 20:17). Ils connaissaient donc le cœur du Père qui les aimait et qui avait tout mis en œuvre en vue de leur salut.
Ils avaient pleinement conscience qu’ils avaient été convertis à Dieu en se tournant «des idoles vers Dieu, pour servir le Dieu vivant et vrai, et pour attendre des cieux son fils qu’il a ressuscité d’entre les morts, Jésus, qui nous délivre de la colère qui vient» (1 Thes. 1:9-10). Le salut qui avait été révélé aux Thessaloniciens est le même que le nôtre et le résultat doit être le même. Nous sommes sauvés pour servir le Dieu vivant et vrai. L’inactivité ne fait pas du tout partie de la vie chrétienne, on est pas passif lorsque l’Esprit Saint est en nous.
L’apôtre Jacques, avec le regard du commun des mortels dit : «Comme le corps sans esprit est mort, ainsi aussi la foi sans les œuvres est morte» (Jac. 2:26). En effet, comment moi en tant qu’homme, pourrais-je savoir si tu as la foi, si tes œuvres ne démontrent pas la réalité de celle-ci ? Dieu seul sonde les cœurs, mais nous, nous ne pouvons que dire avec Jacques «quel profit y a-t-il si quelqu’un dit qu’il a la foi, et qu’il n’ait pas d’œuvres ?» (Jac. 2:14). Nous sommes sauvés pour servir parce que l’Esprit Saint en nous, nous conduit à découvrir les bonnes choses que Dieu a préparées pour ceux qu’il aime afin que nous les pratiquions. La foi produit des œuvres à la gloire du Père.
Un second caractère brillait aussi dans la vie des Thessaloniciens ; ils attendaient chaque jour des cieux Jésus que Dieu avait ressuscité d’entre les morts. Le croyant doit réaliser que Jésus revient pour enlever les siens «car le Seigneur lui-même, avec un cri de commandement, avec une voix d’archange, et avec la trompette de Dieu, descendra du ciel ; et les morts en Christ ressusciteront premièrement, puis nous, les vivants qui demeurons, nous serons ravis ensemble avec eux dans les nuées à la rencontre du Seigneur, en l’air ; et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur» (1 Thes. 4:16-17). Cette attente des premiers chrétiens doit caractériser notre christianisme aujourd’hui. On peut étudier le retour de Jésus en bien des manières ; mais la vie journalière des Thessaloniciens montre que le retour de Jésus fait partie intégrante de la vie chrétienne. Les choses de la terre n’ont plus d’attrait et nous ne plaçons plus notre confiance en ce qui est admiré du monde. Attendre chaque jour le Seigneur est un puissant stimulant qui nous entraîne vers le but que Dieu s’est fixé en nous sauvant.
Après avoir été convertis ils avaient vu et écouté son serviteur Paul ; ils avaient reçu le même salut que l’apôtre, il n’était pas difficile pour eux d’imiter celui qui avait été imitateur de Jésus-Christ. Les Thessaloniciens étaient différents de leurs contemporains ; c’étaient des hommes mis à part, sanctifiés pour servir le Dieu vivant et vrai, en contraste avec les faux dieux et les idoles qu’ils adoraient auparavant. Le changement était total et l’on ne pouvait que le constater. Il n’y avait pas de mélange et ils ne pouvaient être que des modèles pour les autres croyants. Ils servaient librement le Dieu qui les avait délivrés et entraient dans sa présence sans aucune crainte parce qu’ils avaient réalisé la richesse du sacrifice de Jésus dont ils étaient les bénéficiaires. Ils avaient aussi la connaissance du Père, nom que Jésus révèle après sa résurrection lorsqu’Il dit à Marie de Magdala «Je monte vers mon Père et votre Père, et vers mon Dieu et votre Dieu» (Jean 20:17). Ils connaissaient donc le cœur du Père qui les aimait et qui avait tout mis en œuvre en vue de leur salut.
Ils avaient pleinement conscience qu’ils avaient été convertis à Dieu en se tournant «des idoles vers Dieu, pour servir le Dieu vivant et vrai, et pour attendre des cieux son fils qu’il a ressuscité d’entre les morts, Jésus, qui nous délivre de la colère qui vient» (1 Thes. 1:9-10). Le salut qui avait été révélé aux Thessaloniciens est le même que le nôtre et le résultat doit être le même. Nous sommes sauvés pour servir le Dieu vivant et vrai. L’inactivité ne fait pas du tout partie de la vie chrétienne, on est pas passif lorsque l’Esprit Saint est en nous.
L’apôtre Jacques, avec le regard du commun des mortels dit : «Comme le corps sans esprit est mort, ainsi aussi la foi sans les œuvres est morte» (Jac. 2:26). En effet, comment moi en tant qu’homme, pourrais-je savoir si tu as la foi, si tes œuvres ne démontrent pas la réalité de celle-ci ? Dieu seul sonde les cœurs, mais nous, nous ne pouvons que dire avec Jacques «quel profit y a-t-il si quelqu’un dit qu’il a la foi, et qu’il n’ait pas d’œuvres ?» (Jac. 2:14). Nous sommes sauvés pour servir parce que l’Esprit Saint en nous, nous conduit à découvrir les bonnes choses que Dieu a préparées pour ceux qu’il aime afin que nous les pratiquions. La foi produit des œuvres à la gloire du Père.
Un second caractère brillait aussi dans la vie des Thessaloniciens ; ils attendaient chaque jour des cieux Jésus que Dieu avait ressuscité d’entre les morts. Le croyant doit réaliser que Jésus revient pour enlever les siens «car le Seigneur lui-même, avec un cri de commandement, avec une voix d’archange, et avec la trompette de Dieu, descendra du ciel ; et les morts en Christ ressusciteront premièrement, puis nous, les vivants qui demeurons, nous serons ravis ensemble avec eux dans les nuées à la rencontre du Seigneur, en l’air ; et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur» (1 Thes. 4:16-17). Cette attente des premiers chrétiens doit caractériser notre christianisme aujourd’hui. On peut étudier le retour de Jésus en bien des manières ; mais la vie journalière des Thessaloniciens montre que le retour de Jésus fait partie intégrante de la vie chrétienne. Les choses de la terre n’ont plus d’attrait et nous ne plaçons plus notre confiance en ce qui est admiré du monde. Attendre chaque jour le Seigneur est un puissant stimulant qui nous entraîne vers le but que Dieu s’est fixé en nous sauvant.
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