LE VRAI AMOUR
Ceci est une histoire vraie !!!
Après quelques moments de cantiques en ce culte du dimanche soir, le pasteur de l'église se lève lentement et se dirige vers la chaire. Avant de donner son sermon, il présente brièvement un ministre de Dieu présent au culte ce soir-là, disant qu'il était l'un de ses amis d'enfance les plus chers. Il lui demandait alors de présenter ses salutations à l'assemblée et de partager ce qu'il sentait à propos pour le service.
On aperçut alors un homme assez âgé se lever et se diriger vers la chaire. Voici ce qu'il partagea:
« Un père, son fils et un ami à son fils voguaient paisiblement sur la côte du pacifique. Brusquement, une tempête violente s'abattit, rendant impossible tout retour vers la côte. Les vagues étaient tellement hautes que toutes les années d'expérience du marin ne suffirent pas pour maintenir la barque en équilibre et la voilà qui se renverse, les précipitant tous dans l'océan déchaîné. »
Le vieil homme hésita un moment, alors que son regard tombait sur deux adolescents qui, pour la première fois depuis le début du culte, le regardaient fixement, un peu plus intéressés pour comprendre où il voulait en venir.
L'homme poursuivit : « Saisissant au vol le cordage de secours, le père avait à prendre la décision la plus déchirante de sa vie : à quel enfant devait-il lancer l'autre bout du cordage de secours ? Il n'avait que quelques secondes pour décider. Le père savait que son fils était chrétien (converti) et il savait aussi que l'ami de son fils ne l'était pas. Avec une douleur qui n'avait de comparable que la hauteur de ces vagues meurtrières, il cria à son fils : 'Je t'aime, mon fils', et lança le cordage à l'ami de son fils, le ramena à la barque qu'il arriva tant bien que mal à retourner. Pendant ce temps, son fils disparaissait dans les profondeurs de l'océan dans la noirceur de la nuit. Son corps n'a jamais été retrouvé. »
En ce moment, les deux adolescents, assis tout droit sur leurs sièges, attendaient anxieusement la suite de cette histoire.
« Le père, poursuivit-il, savait que son fils serait dans l'éternité avec Jésus et ne pouvait se faire à l'idée que l'ami de son fils puisse passer l’éternité sans Jésus. Ainsi donc, il sacrifia son fils afin de sauver celle du fils de son ami. Combien grand peut être l'amour de Dieu pour qu'il ait fait autant pour nous ! Notre père céleste a sacrifié son fils unique afin que nous soyons sauvés. Je vous supplie d'accepter son offre de vous secourir et de saisir ce cordage de secours qu'il vous lance dans ce service. »
Sur ce, le vieil homme s'en retourna à sa place et un long silence remplit la salle. Le pasteur se leva encore, se dirigea vers la chaire, livra son sermon et fit un appel à la fin pour ceux qui voulaient donner leur cœur à Jésus. Personne ne répondit à l'appel.
A la fin du service, les deux adolescents se dirigèrent vers le vieil homme: « C'était une belle histoire », signifia poliment l'un d'eux. « Mais, je ne pense pas que cela ait été vraiment réaliste de la part du père de sacrifier la vie de son fils unique dans l'espoir que l'autre garçon devienne chrétien (converti) ! .»
« Bien, vous venez de taper en plein dans le mille », dit le vieil homme, portant son regard sur la vieille bible qu'il avait en mains. Un large sourire se dessina sur sa face étroite et il regarda encore une fois les deux adolescents, avant de lancer : « Ce n'est sûrement pas réaliste n'est-ce pas ? Mais je me tiens aujourd'hui devant vous pour vous dire que cette histoire me donne un aperçu de comment cela a pu être dur pour Dieu de sacrifier son fils unique Jésus pour moi. Vous voyez, je suis l'homme de cette histoire et votre pasteur actuel était l'ami de mon fils. »
Après quelques moments de cantiques en ce culte du dimanche soir, le pasteur de l'église se lève lentement et se dirige vers la chaire. Avant de donner son sermon, il présente brièvement un ministre de Dieu présent au culte ce soir-là, disant qu'il était l'un de ses amis d'enfance les plus chers. Il lui demandait alors de présenter ses salutations à l'assemblée et de partager ce qu'il sentait à propos pour le service.
On aperçut alors un homme assez âgé se lever et se diriger vers la chaire. Voici ce qu'il partagea:
« Un père, son fils et un ami à son fils voguaient paisiblement sur la côte du pacifique. Brusquement, une tempête violente s'abattit, rendant impossible tout retour vers la côte. Les vagues étaient tellement hautes que toutes les années d'expérience du marin ne suffirent pas pour maintenir la barque en équilibre et la voilà qui se renverse, les précipitant tous dans l'océan déchaîné. »
Le vieil homme hésita un moment, alors que son regard tombait sur deux adolescents qui, pour la première fois depuis le début du culte, le regardaient fixement, un peu plus intéressés pour comprendre où il voulait en venir.
L'homme poursuivit : « Saisissant au vol le cordage de secours, le père avait à prendre la décision la plus déchirante de sa vie : à quel enfant devait-il lancer l'autre bout du cordage de secours ? Il n'avait que quelques secondes pour décider. Le père savait que son fils était chrétien (converti) et il savait aussi que l'ami de son fils ne l'était pas. Avec une douleur qui n'avait de comparable que la hauteur de ces vagues meurtrières, il cria à son fils : 'Je t'aime, mon fils', et lança le cordage à l'ami de son fils, le ramena à la barque qu'il arriva tant bien que mal à retourner. Pendant ce temps, son fils disparaissait dans les profondeurs de l'océan dans la noirceur de la nuit. Son corps n'a jamais été retrouvé. »
En ce moment, les deux adolescents, assis tout droit sur leurs sièges, attendaient anxieusement la suite de cette histoire.
« Le père, poursuivit-il, savait que son fils serait dans l'éternité avec Jésus et ne pouvait se faire à l'idée que l'ami de son fils puisse passer l’éternité sans Jésus. Ainsi donc, il sacrifia son fils afin de sauver celle du fils de son ami. Combien grand peut être l'amour de Dieu pour qu'il ait fait autant pour nous ! Notre père céleste a sacrifié son fils unique afin que nous soyons sauvés. Je vous supplie d'accepter son offre de vous secourir et de saisir ce cordage de secours qu'il vous lance dans ce service. »
Sur ce, le vieil homme s'en retourna à sa place et un long silence remplit la salle. Le pasteur se leva encore, se dirigea vers la chaire, livra son sermon et fit un appel à la fin pour ceux qui voulaient donner leur cœur à Jésus. Personne ne répondit à l'appel.
A la fin du service, les deux adolescents se dirigèrent vers le vieil homme: « C'était une belle histoire », signifia poliment l'un d'eux. « Mais, je ne pense pas que cela ait été vraiment réaliste de la part du père de sacrifier la vie de son fils unique dans l'espoir que l'autre garçon devienne chrétien (converti) ! .»
« Bien, vous venez de taper en plein dans le mille », dit le vieil homme, portant son regard sur la vieille bible qu'il avait en mains. Un large sourire se dessina sur sa face étroite et il regarda encore une fois les deux adolescents, avant de lancer : « Ce n'est sûrement pas réaliste n'est-ce pas ? Mais je me tiens aujourd'hui devant vous pour vous dire que cette histoire me donne un aperçu de comment cela a pu être dur pour Dieu de sacrifier son fils unique Jésus pour moi. Vous voyez, je suis l'homme de cette histoire et votre pasteur actuel était l'ami de mon fils. »
UNE VIE QUI COMPTE
Comment un chrétien peut-il donner de la valeur à sa vie?
Bien qu'un croyant ne puisse perdre son salut, il est cependant vrai qu'il peut gaspiller sa vie en sorte qu'elle ne comptera pas en vue de l'éternité.On a dit justement qu'un fou est un homme dont tous les plans s'achèvent dans le temps.Pour éviter la tragédie d'une vie manquée, la Bible donne à chaque chrétien les conseils suivants :
1.Réfléchissez à ce qu'il coûte d'être un disciple de Christ.Tous les croyants sont enfants de Dieu, mais tous ne sont pas Ses disciples.La définition du disciple est donnée dans Matthieu 10:16-42 et Luc 14:25-35. Être disciple de Christ signifie donc renoncer à la sécurité et au confort terrestres, et suppose une vie de renoncement à soi-même.Être disciple nous attire l'hostilité et les railleries de ce monde, en un mot, c'est renoncer à tout pour suivre le Seigneur Jésus.
2.Confiez-Lui délibérément votre vie (Ro. 12:1).Se décider à Lui livrer son corps en sacrifice vivant, c'est la seule chose raisonnable à faire en regard de tout ce qu'Il a fait.Charles-T. Studd a dit une fois : «Si Jésus-Christ est Dieu et qu'Il est mort pour moi, aucun des sacrifices que je pourrais faire pour Lui ne saurait être trop grand.»
3.Renoncez à votre propre vie pour Christ.Le Sauveur a dit : «Celui qui perdra sa vie pour l'amour de moi la retrouvera» (Mt. 16:25).En d'autres termes, si vous voulez connaître une pleine joie et le bonheur ici-bas, vivez pour plaire au Seigneur Jésus-Christ et non à vous-même.Celui qui vit d'une manière égoïste est un homme misérable et malheureux
4.Coupez les ponts derrière vous. «Liez la victime avec des cordes aux cornes de l'autel» (Ps. 118:27).Cela signifie : Rendez-vous aussi difficile que possible le retour en arrière, en supprimant tout ce qui empêche une vie d'obéissance et de consécration totale au Seigneur (Lc 9:23).
5.Ne vous engagez pas sur des sentiers détournés. Beaucoup sont bien partis mais, ayant perdu la vision céleste, sont retombés dansla vieille routine.Une bonne place, une brillante carrière sont souvent des pièges.Des mariages peu sages ont été une occasion de chute pour bien des jeunes croyants.Le Seigneur Jésus a dit : «Quiconque met la main à la charrue et regarde en arrière, n'est pas bon pour le royaume de Dieu (Lc 9:62).
6.Vivez pour servir. «Le Fils de l'Homme est venu non pas pour être servi, mais pour servir»(Mt. 20:28).La vraie grandeur consiste à servir les autres.N'essayez pas d'être du côté de ceux qui reçoivent.«Il vaut mieux donner que recevoir» (Ac. 20:35).
7.Faites de Christ le Seigneur de toutes choses. Si Christ règne vraiment sur votre vie, vos jours compteront pour l'éternité (Col. 3:23-24).
En terminant ce cours, nous aimerions vous dire encore que la vie chrétienne «n'est pas un passe-temps agréable, mais une recherche passionnée».Ce n'est pas une vie facile mais une lutte. Il ne coûte rien de «devenir» chrétien mais il coûte beaucoup de l'«être» d'une façon pratique.Ce n'est pas aller au-devant de la popularité mais au-devant de la persécution; ce n'estpas le confort, mais la croix!
Pourtant, c'est la meilleure des vies.Vous servez le Meilleur des maîtres.Vos gages sont bons, mais vous aimez votre travail plus que votre salaire.Votre récompense est grande déjà maintenant et jusque dans l'éternité.
C'est pourquoi nous vous pressons de donner votre vie à Christ.Apportez-lui tout ce que vous avez de meilleur.Ne gardez rien pour vous.Que votre suprême joie soit de l'entendre dire un jour : «Tu as bien agi, bon et fidèle serviteur... entre dans la joie de ton Maître.(Mt.25:21).
L'UNITÉ DE LA FOI (Ep.4:3)
L'ÉGLISE de Christ est une ÉGLISE solidaire où ses membres ne font qu'un dans une communion d'amour et de liberté (Ro.12:5).Le Seigneur vous demande de prendre à coeur différents commandements réciproques et de les accomplir dans l'ÉGLISE.
I. Relations interpersonnelles
a. Aimez-vous les uns les autres - Jn 13:34
b. Accueillez-vous les uns les autres - Ro.15:7
c. Saluez-vous les uns les autres - 1 Co.16:20
d. Ayez soin les uns des autres - 1 Co.12:25
e. Soumettez-vous les uns aux autres - Ep.5:21
f. Supportez-vous les uns les autres - Ep.4:22
g. Confessez vos péchés les uns aux autres - Ja.5:16
h. Pardonnez-vous les uns les autres - Ep.4:32
II.Relations avec les commandements négatifs
a. Ne vous jugez plus les uns les autres - Ro.14:13
b. Ne parles point mal les uns des autres - Ja.4:11
c. Ne vous plaignez pas les uns des autres - Ja.5:9
d. Ne vous mordez et dévorez pas les uns les autres - Ga.5:15
III.Relation avec l'édification mutuelle
a. Édifiez-vous les uns les autres - Ro.14:19; 1 Th.5:11
b. Instruisez-vous les uns les autres - Col.3:16
c. Exhortez-vous les uns les autres - Col.3:16; 1 Th.5:11; Ro.15:14
d. Entretenez-vous par des psaumes, par des hymnes et des cantiques spiritue- Ep.5:19
IV.Relation avec le service mutuel
a. Servez-vous les uns les autres - Ga.5:13
b. Portez les fardeaux les uns des autres - Ga.6:2
c. Exerçez l'hospitalité les uns envers les autres - 1 Pi.4:9
d. Soyez bons, compatissants les uns envers les autres - Ep.4:32
e. Priez les uns pour les autres - Ja.5:16
Bien qu'un croyant ne puisse perdre son salut, il est cependant vrai qu'il peut gaspiller sa vie en sorte qu'elle ne comptera pas en vue de l'éternité.On a dit justement qu'un fou est un homme dont tous les plans s'achèvent dans le temps.Pour éviter la tragédie d'une vie manquée, la Bible donne à chaque chrétien les conseils suivants :
1.Réfléchissez à ce qu'il coûte d'être un disciple de Christ.Tous les croyants sont enfants de Dieu, mais tous ne sont pas Ses disciples.La définition du disciple est donnée dans Matthieu 10:16-42 et Luc 14:25-35. Être disciple de Christ signifie donc renoncer à la sécurité et au confort terrestres, et suppose une vie de renoncement à soi-même.Être disciple nous attire l'hostilité et les railleries de ce monde, en un mot, c'est renoncer à tout pour suivre le Seigneur Jésus.
2.Confiez-Lui délibérément votre vie (Ro. 12:1).Se décider à Lui livrer son corps en sacrifice vivant, c'est la seule chose raisonnable à faire en regard de tout ce qu'Il a fait.Charles-T. Studd a dit une fois : «Si Jésus-Christ est Dieu et qu'Il est mort pour moi, aucun des sacrifices que je pourrais faire pour Lui ne saurait être trop grand.»
3.Renoncez à votre propre vie pour Christ.Le Sauveur a dit : «Celui qui perdra sa vie pour l'amour de moi la retrouvera» (Mt. 16:25).En d'autres termes, si vous voulez connaître une pleine joie et le bonheur ici-bas, vivez pour plaire au Seigneur Jésus-Christ et non à vous-même.Celui qui vit d'une manière égoïste est un homme misérable et malheureux
4.Coupez les ponts derrière vous. «Liez la victime avec des cordes aux cornes de l'autel» (Ps. 118:27).Cela signifie : Rendez-vous aussi difficile que possible le retour en arrière, en supprimant tout ce qui empêche une vie d'obéissance et de consécration totale au Seigneur (Lc 9:23).
5.Ne vous engagez pas sur des sentiers détournés. Beaucoup sont bien partis mais, ayant perdu la vision céleste, sont retombés dansla vieille routine.Une bonne place, une brillante carrière sont souvent des pièges.Des mariages peu sages ont été une occasion de chute pour bien des jeunes croyants.Le Seigneur Jésus a dit : «Quiconque met la main à la charrue et regarde en arrière, n'est pas bon pour le royaume de Dieu (Lc 9:62).
6.Vivez pour servir. «Le Fils de l'Homme est venu non pas pour être servi, mais pour servir»(Mt. 20:28).La vraie grandeur consiste à servir les autres.N'essayez pas d'être du côté de ceux qui reçoivent.«Il vaut mieux donner que recevoir» (Ac. 20:35).
7.Faites de Christ le Seigneur de toutes choses. Si Christ règne vraiment sur votre vie, vos jours compteront pour l'éternité (Col. 3:23-24).
En terminant ce cours, nous aimerions vous dire encore que la vie chrétienne «n'est pas un passe-temps agréable, mais une recherche passionnée».Ce n'est pas une vie facile mais une lutte. Il ne coûte rien de «devenir» chrétien mais il coûte beaucoup de l'«être» d'une façon pratique.Ce n'est pas aller au-devant de la popularité mais au-devant de la persécution; ce n'estpas le confort, mais la croix!
Pourtant, c'est la meilleure des vies.Vous servez le Meilleur des maîtres.Vos gages sont bons, mais vous aimez votre travail plus que votre salaire.Votre récompense est grande déjà maintenant et jusque dans l'éternité.
C'est pourquoi nous vous pressons de donner votre vie à Christ.Apportez-lui tout ce que vous avez de meilleur.Ne gardez rien pour vous.Que votre suprême joie soit de l'entendre dire un jour : «Tu as bien agi, bon et fidèle serviteur... entre dans la joie de ton Maître.(Mt.25:21).
L'UNITÉ DE LA FOI (Ep.4:3)
L'ÉGLISE de Christ est une ÉGLISE solidaire où ses membres ne font qu'un dans une communion d'amour et de liberté (Ro.12:5).Le Seigneur vous demande de prendre à coeur différents commandements réciproques et de les accomplir dans l'ÉGLISE.
I. Relations interpersonnelles
a. Aimez-vous les uns les autres - Jn 13:34
b. Accueillez-vous les uns les autres - Ro.15:7
c. Saluez-vous les uns les autres - 1 Co.16:20
d. Ayez soin les uns des autres - 1 Co.12:25
e. Soumettez-vous les uns aux autres - Ep.5:21
f. Supportez-vous les uns les autres - Ep.4:22
g. Confessez vos péchés les uns aux autres - Ja.5:16
h. Pardonnez-vous les uns les autres - Ep.4:32
II.Relations avec les commandements négatifs
a. Ne vous jugez plus les uns les autres - Ro.14:13
b. Ne parles point mal les uns des autres - Ja.4:11
c. Ne vous plaignez pas les uns des autres - Ja.5:9
d. Ne vous mordez et dévorez pas les uns les autres - Ga.5:15
III.Relation avec l'édification mutuelle
a. Édifiez-vous les uns les autres - Ro.14:19; 1 Th.5:11
b. Instruisez-vous les uns les autres - Col.3:16
c. Exhortez-vous les uns les autres - Col.3:16; 1 Th.5:11; Ro.15:14
d. Entretenez-vous par des psaumes, par des hymnes et des cantiques spiritue- Ep.5:19
IV.Relation avec le service mutuel
a. Servez-vous les uns les autres - Ga.5:13
b. Portez les fardeaux les uns des autres - Ga.6:2
c. Exerçez l'hospitalité les uns envers les autres - 1 Pi.4:9
d. Soyez bons, compatissants les uns envers les autres - Ep.4:32
e. Priez les uns pour les autres - Ja.5:16
QUI EST JÉSUS POUR TOI?
Convention Mondiale des Tentateurs et Apprentis
Ce message est compilé d'après des notes prises lors de la dernière Convention Mondiale des Démons, Anges Déchus, Tentateurs et Apprenti-Tentateurs...
Dans son discours d'ouverture adressé à tous les anges déchus, le diable a déclaré:
- « Nous ne pouvons pas empêcher les chrétiens d'aller à l'église, nous ne pouvons pas les empêcher de lire leur Bible et de connaître la vérité, nous ne pouvons même pas les empêcher de faire l'expérience d'une relation avec Jésus-Christ. Mais s'ils réussissent à maintenir cette relation avec Jésus, notre pouvoir sur eux est brisé. Laissons-les conserver leur style de vie, mais volons leur temps pour les empêcher de conserver vivante cette relation intime avec Jésus-Christ.
Voilà donc ce que je veux que vous fassiez, anges déchus: "Distrayez-les, empêchez-les de s'emparer de leur sauveur et de maintenir cette relation vitale quotidienne"»
(Un murmure interrogatif parcourt la foule des démons, alors le diable précise ainsi sa pensée):
« 1* Gardez-les occupés aux choses non essentielles de la vie et inventez des machinations pour occuper leurs esprits.
2* Poussez-les à dépenser, dépenser, dépenser, emprunter, emprunter, emprunter.
3* Persuadez les femmes d'aller travailler de longues heures et les maris de travailler six, sept jours par semaines, 12h par jour pour pouvoir s'offrir ce qu'ils désirent.
4* Empêchez-les de passer du temps avec leurs enfants et leurs familles.
Bientôt leur maison n'offrira plus aucune échappatoire à la ten-sion de leur travail.
5* Stimulez de plus en plus leur esprit au point qu'ils ne puissent plus entendre cette douce voix (le Saint-Esprit).
6* Poussez-les à mettre la radio, les cassettes ou les CD quand ils sont au volant et les télévisions, vidéos, Cd et ordinateurs en permanence dans leurs foyers.
7* Veillez à ce que chaque magasin et restaurant dans le monde joue de la musique non chrétienne sans interruption; cela va remplir leurs esprits et casser leur union avec Jésus-Christ.
8* Couvrez les tables basses de magazines et de journaux pour qu'ils soient envahis de nouvelles du monde 24h/24, qu'il y ait plein de panneaux publicitaires le long des routes qui les attirent quand ils con-duisent.
9* Inondez les boîtes aux lettres de courrier non intéressant, catalogues, concours de toutes sortes et toutes sortes de lettres promotionnelles offrant des produits gratuits et des services publicitaires vantant de faux espoirs.
10* Mettez beaucoup de mannequins maigres et magnifiques sur la 1ère page des magazines pour que les hommes croient que la beauté extérieure est plus importante que la beauté intérieure,et à ce moment-là ils seront mécontents de leurs femmes et cela brisera très vite les familles.
11* Dans leur moment de récréation ou de détente, poussez-les à être excessifs, qu'ils reviennent de ce moment complètement épuisés, pas du tout en paix et pas préparés pour la semaine à venir.
12* Ne les laissez pas aller dans la nature pour méditer les merveilles de Dieu.
13* Envoyez-les dans des parcs d'attraction, voir des évènements sportifs, assister à des concerts, aller au cinéma.
14* Gardez-les occupés, occupés, occupés et quand ils se rencontrent pour des rencontres spirituelles, entraînez-les au commérage, au bavardage, qu'ils s'en aillent après ces rencontres avec l'esprit troublé et les émotions en ébullition.
15* Allez-y, laissez-les s'engager pour gagner des âmes mais remplissez leur vie de tellement de bonnes causes qu'ils n'aient pas le temps de chercher la puissance venant de Jésus. Très bientôt, ils travailleront et feront tout cela de leur propre force en faisant le sacrifice de leur santé et de leur famille pour la bonne cause et ça va marcher ! Oui ça va marcher!!! »
Les démons exultèrent !
C'était vraiment une très bonne convention !
Alors les anges déchus partirent très vite mettre en pratique les leçons apprises: occuper les chrétiens, les stresser et les pousser à courir de ci de là...
Ce message est compilé d'après des notes prises lors de la dernière Convention Mondiale des Démons, Anges Déchus, Tentateurs et Apprenti-Tentateurs...
Dans son discours d'ouverture adressé à tous les anges déchus, le diable a déclaré:
- « Nous ne pouvons pas empêcher les chrétiens d'aller à l'église, nous ne pouvons pas les empêcher de lire leur Bible et de connaître la vérité, nous ne pouvons même pas les empêcher de faire l'expérience d'une relation avec Jésus-Christ. Mais s'ils réussissent à maintenir cette relation avec Jésus, notre pouvoir sur eux est brisé. Laissons-les conserver leur style de vie, mais volons leur temps pour les empêcher de conserver vivante cette relation intime avec Jésus-Christ.
Voilà donc ce que je veux que vous fassiez, anges déchus: "Distrayez-les, empêchez-les de s'emparer de leur sauveur et de maintenir cette relation vitale quotidienne"»
(Un murmure interrogatif parcourt la foule des démons, alors le diable précise ainsi sa pensée):
« 1* Gardez-les occupés aux choses non essentielles de la vie et inventez des machinations pour occuper leurs esprits.
2* Poussez-les à dépenser, dépenser, dépenser, emprunter, emprunter, emprunter.
3* Persuadez les femmes d'aller travailler de longues heures et les maris de travailler six, sept jours par semaines, 12h par jour pour pouvoir s'offrir ce qu'ils désirent.
4* Empêchez-les de passer du temps avec leurs enfants et leurs familles.
Bientôt leur maison n'offrira plus aucune échappatoire à la ten-sion de leur travail.
5* Stimulez de plus en plus leur esprit au point qu'ils ne puissent plus entendre cette douce voix (le Saint-Esprit).
6* Poussez-les à mettre la radio, les cassettes ou les CD quand ils sont au volant et les télévisions, vidéos, Cd et ordinateurs en permanence dans leurs foyers.
7* Veillez à ce que chaque magasin et restaurant dans le monde joue de la musique non chrétienne sans interruption; cela va remplir leurs esprits et casser leur union avec Jésus-Christ.
8* Couvrez les tables basses de magazines et de journaux pour qu'ils soient envahis de nouvelles du monde 24h/24, qu'il y ait plein de panneaux publicitaires le long des routes qui les attirent quand ils con-duisent.
9* Inondez les boîtes aux lettres de courrier non intéressant, catalogues, concours de toutes sortes et toutes sortes de lettres promotionnelles offrant des produits gratuits et des services publicitaires vantant de faux espoirs.
10* Mettez beaucoup de mannequins maigres et magnifiques sur la 1ère page des magazines pour que les hommes croient que la beauté extérieure est plus importante que la beauté intérieure,et à ce moment-là ils seront mécontents de leurs femmes et cela brisera très vite les familles.
11* Dans leur moment de récréation ou de détente, poussez-les à être excessifs, qu'ils reviennent de ce moment complètement épuisés, pas du tout en paix et pas préparés pour la semaine à venir.
12* Ne les laissez pas aller dans la nature pour méditer les merveilles de Dieu.
13* Envoyez-les dans des parcs d'attraction, voir des évènements sportifs, assister à des concerts, aller au cinéma.
14* Gardez-les occupés, occupés, occupés et quand ils se rencontrent pour des rencontres spirituelles, entraînez-les au commérage, au bavardage, qu'ils s'en aillent après ces rencontres avec l'esprit troublé et les émotions en ébullition.
15* Allez-y, laissez-les s'engager pour gagner des âmes mais remplissez leur vie de tellement de bonnes causes qu'ils n'aient pas le temps de chercher la puissance venant de Jésus. Très bientôt, ils travailleront et feront tout cela de leur propre force en faisant le sacrifice de leur santé et de leur famille pour la bonne cause et ça va marcher ! Oui ça va marcher!!! »
Les démons exultèrent !
C'était vraiment une très bonne convention !
Alors les anges déchus partirent très vite mettre en pratique les leçons apprises: occuper les chrétiens, les stresser et les pousser à courir de ci de là...
Nous, chrétiens, devons nous poser une seule question: Le diable a-t-il réussi sa mission ?
Vous seul êtes juges...
" La fin de toutes choses est proche। Soyez sages et sobres, pour vaquer à la prière. " 1 Pierre 4:7
Vous seul êtes juges...
" La fin de toutes choses est proche। Soyez sages et sobres, pour vaquer à la prière. " 1 Pierre 4:7
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by topc
QUI EST JESUS ?
Allez n'importe où dans le monde aujourd'hui. Discutez avec les croyants de n'importe quelle religion. Quel que soit leur engagement envers leur religion particulière, s'ils connaissent la vie de Jésus, ils sont obligés d'admettre qu'il n'y a jamais eu un homme comme lui. Il est le personnage le plus unique de tous les temps.
Jésus a changé le cours de l'Histoire. Même la date sur votre journal témoigne du fait que Jésus de Nazareth a vécu sur la terre il y un peu plus de 2000 ans.
SA VENUE ETAIT ANNONCEE
Des siècles avant la naissance de Jésus, la Bible cite les paroles des prophètes d'Israël qui parlent de sa venue. L'Ancien Testament, rédigé sur une période de 15 siècles par une quarantaine d'auteurs différents, contient plus de 300 prophéties sur la venue de Jésus. Chaque détail s'est réalisé, y compris sa naissance miraculeuse, sa vie sans péché, ses nombreux miracles, sa mort et sa résurrection.
La vie de Jésus, ses miracles, les paroles qu'il a prononcées, sa mort sur la croix, sa résurrection, son ascension au ciel tout indique : que Jésus n'était pas qu'un simple homme, qu'il était bien plus qu'un homme. Jésus a proclamé : “Moi et le Père nous sommes un.” (Jean 10:30), “Celui qui m'a vu a vu le Père” (Jean 14:9), et “Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi.” (Jean 14:6).
SA VIE ET SON MESSAGE PROVOQUENT DES CHANGEMENTS
Regardez la vie et l'influence de Jésus de Nazareth, le Christ. Au fil de l'Histoire vous verrez que son message produit toujours de grands changements dans la vie des hommes et des nations. Là où son enseignement et son influence ont été reconnus, les effets se sont fait sentir : l'importance du mariage, les droits de la femme et son importance dans la société ont été reconnus, des écoles et des établissements d'enseignement supérieurs ont été fondés, des lois pour la protection des enfants ont été adoptées, l'esclavage a été aboli, et une multitude d'autres changements en ont découlé pour le bien de l'humanité. Par exemple, Lew Wallace, un savant très connu a cherché dans les meilleures bibliothèques d'Amérique et d'Europe pour trouver des informations qui détruiraient à jamais le christianisme. En rédigeant le deuxième chapitre du livre qu'il voulait écrire, il s'est retrouvé à genoux en criant à Jésus “Mon seigneur et mon Dieu !”
Confronté à des preuves solides et irréfutables, il ne pouvait plus nier que Jésus-Christ était le Fils de Dieu. Plus tard, Wallace a écrit Ben Hur, l'un des plus grands romans sur l'époque du Christ.
C.S. Lewis, professeur à Oxford, était agnostique et niait la divinité du Christ depuis des années. Mais lui aussi, par honnêteté intellectuelle, s'est tourné vers Jésus comme son Dieu et son sauveur après avoir examiné toutes les preuves de sa divinité.
Seigneur, menteur ou fou ?
Dans son livre très connu, Etre ou ne pas etre, Lewis dit : “Quelqu'un qui est un simple homme et qui a dit les choses que Jésus a dites ne peut pas être un grand homme d'éthique ou de moralité. Il serait soit, un fou - le genre d'homme qui se croit un oeuf en poche - soit il serait le diable tout droit de l'enfer. Vous devez faire votre choix. Ou il était, et est toujours, le fils de Dieu, ou il était dérangé ou pire encore. Vous pouvez refuser de le croire parce que vous pensez qu'il était fou ou vous pouvez tomber à ses pieds et l'appeler Seigneur et Dieu. Mais n'essayons pas d'avancer des théories ridicules et condescendantes prétendant qu'il était un grand enseignant humain. Il ne nous a pas laissé cette possibilité.
Qui est Jésus de Nazareth pour vous ? A travers votre réponse, votre vie sur cette terre et pour toute l'éternité est en jeu.
Toutes les autres religions ont été fondées par des être humains et sont basées sur des philosophies, des règles, des normes de comportement qui viennent de l'homme. Si vous prenez le fondateur d'une de ces religions et que vous retirez sa personne des pratiques et des disciplines de cette religion, elle sera très peu changée. Mais si vous ôtez Jésus-Christ du christianisme, il ne reste plus rien. Le christianisme biblique n'est ni une simple philosophie de vie, ni une norme d'éthique, ni une obéissance à des rites religieux. Le véritable christianisme a pour fondement une relation vivante avec un sauveur et seigneur ressuscité et vivant.
Un fondateur ressuscité
Jésus de Nazareth a été crucifié sur une croix, inhumé dans le tombeau d'un autre, et trois jours plus tard il est ressuscité des morts ; le christianisme est unique à cet égard. Tout argument pour la validité du christianisme dépend des preuves de la résurrection de Jésus de Nazareth.
Au fil des siècles, la plupart des savants qui ont examiné les preuves de la résurrection ont cru, et croient encore, que Jésus est vivant. Après avoir examiné les preuves avancées par les auteurs des Evangiles, Simon Greenleaf, expert en questions légales à l'école de droit de Harvard a conclu : “Il était donc impossible qu'ils aient pu persister à affirmer les vérités qu'ils ont écrit si Jésus n'était pas véritablement ressuscité des morts, et s'ils ne le savaient pas aussi certainement qu'ils ne savaient n'importe quel autre fait.”
John Singleton Copley, reconnu comme étant l'un des juristes les plus brillants de toute l'Histoire britannique, a fait ce commentaire : “Je sais assez bien ce que sont des preuves ; et je vous l'affirme, des preuves telles que celles de la résurrection n'ont jamais été réfutées.”
Des raisons de croire
La résurrection est au coeur même de la foi d'un chrétien. Il y a plusieurs raisons pour lesquelles ceux qui étudient la résurrection croient qu'elle est vraie :
Elle a été prédite : Premièrement, Jésus lui-même a prédit sa mort et sa résurrection et ces événements se sont déroulés exactement comme il les avait prédits (Luc 18:31-33).
Le tombeau vide : Deuxièmement, la résurrection est la seule explication plausible pour le tombeau vide. Une lecture soigneuse du récit biblique révèle que son tombeau était gardé par des soldats romains et fermé par un énorme rocher. Si, comme certains le prétendent, Jésus n'était pas mort mais seulement affaibli, les gardes ou la pierre auraient empêché toute tentative d'évasion, que ce soit de sa part ou de la part de ses disciples. Les ennemis de Jésus n'auraient jamais pris le corps de Jésus, car la disparition du corps n'aurait servi qu'à encourager la croyance en la résurrection.
Des rencontres personnelles : Troisièmement, la résurrection est la seule explication des apparitions de Jésus à ses disciples. Après sa résurrection, Jésus est apparu au moins dix fois à ceux qui l'avaient connu et jusqu'à 500 personnes à la fois. Le Seigneur a prouvé que ses apparitions n'étaient pas des hallucinations : il mangé avec eux, il a parlé avec eux et ils l'ont touché. (1 Jean 1:1).
La naissance de l'Eglise : Quatrièmement, la résurrection est la seule explication raisonnable pour les débuts de l'Eglise chrétienne. L'Eglise chrétienne est de loin la plus grande institution qui existe et qui a jamais existé dans l'Histoire du monde. Plus de la moitié du premier sermon jamais prêché était en référence à la résurrection (Actes 2:14-36). Bien entendu, l'Église primitive savait que la résurrection était le fondement de son message. Les ennemis de Jésus ou de ceux qui le suivaient aurait pu tout arrêter d'un instant à l'autre simplement en montrant le corps de Jésus.
Des vies transformées : Cinquièmement, la résurrection est la seule explication logique pour la vie transformée de ses disciples. Il l'ont abandonné avant sa résurrection : après sa mort, ils étaient découragés et dans la peur. Ils ne s'attendaient pas à ce que Jésus ressuscite. (Luc 24:1-11).
Mais après la résurrection de Jésus et ce qu'ils ont vécu à la Pentecôte, ces mêmes hommes et femmes découragés, déçus, ont été transformés par la puissance du Christ ressuscité. En son nom, ils ont bouleversé le monde. Bon nombre ont perdu leur vie pour leur foi ; d'autres ont été terriblement persécutés. Leur courage n'a pas de sens en dehors de leur conviction que Jésus-Christ a été réellement ressuscité des morts - un fait qui valait bien à leurs yeux, le prix de leurs vies.
En quarante ans de travail avec les intellectuels du monde universitaire, je n'ai pas encore rencontré quelqu'un qui, après avoir considéré honnêtement la foule de preuves qui démontrent la divinité et la résurrection de Jésus de Nazareth, dignement n'ait pas admis que Jésus était bien le Fils de Dieu, le Messie promis. Bien que certains ne croient pas, ils ont l'honnêteté d'admettre “Je n'ai pas pris le temps de lire la Bible ou d'examiner les faits historiques au sujet de Jésus.”
Un Seigneur vivant : A cause de la résurrection de Jésus, ceux qui l'ont vraiment suivi ne font pas que suivre les principes d'éthique d'un fondateur mort, mais ils ont une relation vivante et personnelle avec un Seigneur vivant. Jésus-Christ vit aujourd'hui et bénit la vie de ceux qui lui font confiance et qui lui obéissent. Au fil des siècles, des multitudes ont reconnu l'importance de Jésus-Christ, certains d'entre eux ont eu une grand influence sur le monde.
Blaise Pascal a évoqué le besoin de l'homme pour Jésus lorsqu'il a dit “Il y un vide dans le coeur de chaque homme que seul Dieu peut combler par son fils Jésus-Christ.”
Voulez-vous connaître Jésus-Christ personnellement comme votre sauveur vivant ? Aussi audacieux que cela puisse paraître, c'est possible ! Jésus souhaite tellement établir une relation personnelle d'amour avec vous qu'il a déja fait tout ce qu'il faut pour cela.
Jésus a changé le cours de l'Histoire. Même la date sur votre journal témoigne du fait que Jésus de Nazareth a vécu sur la terre il y un peu plus de 2000 ans.
SA VENUE ETAIT ANNONCEE
Des siècles avant la naissance de Jésus, la Bible cite les paroles des prophètes d'Israël qui parlent de sa venue. L'Ancien Testament, rédigé sur une période de 15 siècles par une quarantaine d'auteurs différents, contient plus de 300 prophéties sur la venue de Jésus. Chaque détail s'est réalisé, y compris sa naissance miraculeuse, sa vie sans péché, ses nombreux miracles, sa mort et sa résurrection.
La vie de Jésus, ses miracles, les paroles qu'il a prononcées, sa mort sur la croix, sa résurrection, son ascension au ciel tout indique : que Jésus n'était pas qu'un simple homme, qu'il était bien plus qu'un homme. Jésus a proclamé : “Moi et le Père nous sommes un.” (Jean 10:30), “Celui qui m'a vu a vu le Père” (Jean 14:9), et “Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi.” (Jean 14:6).
SA VIE ET SON MESSAGE PROVOQUENT DES CHANGEMENTS
Regardez la vie et l'influence de Jésus de Nazareth, le Christ. Au fil de l'Histoire vous verrez que son message produit toujours de grands changements dans la vie des hommes et des nations. Là où son enseignement et son influence ont été reconnus, les effets se sont fait sentir : l'importance du mariage, les droits de la femme et son importance dans la société ont été reconnus, des écoles et des établissements d'enseignement supérieurs ont été fondés, des lois pour la protection des enfants ont été adoptées, l'esclavage a été aboli, et une multitude d'autres changements en ont découlé pour le bien de l'humanité. Par exemple, Lew Wallace, un savant très connu a cherché dans les meilleures bibliothèques d'Amérique et d'Europe pour trouver des informations qui détruiraient à jamais le christianisme. En rédigeant le deuxième chapitre du livre qu'il voulait écrire, il s'est retrouvé à genoux en criant à Jésus “Mon seigneur et mon Dieu !”
Confronté à des preuves solides et irréfutables, il ne pouvait plus nier que Jésus-Christ était le Fils de Dieu. Plus tard, Wallace a écrit Ben Hur, l'un des plus grands romans sur l'époque du Christ.
C.S. Lewis, professeur à Oxford, était agnostique et niait la divinité du Christ depuis des années. Mais lui aussi, par honnêteté intellectuelle, s'est tourné vers Jésus comme son Dieu et son sauveur après avoir examiné toutes les preuves de sa divinité.
Seigneur, menteur ou fou ?
Dans son livre très connu, Etre ou ne pas etre, Lewis dit : “Quelqu'un qui est un simple homme et qui a dit les choses que Jésus a dites ne peut pas être un grand homme d'éthique ou de moralité. Il serait soit, un fou - le genre d'homme qui se croit un oeuf en poche - soit il serait le diable tout droit de l'enfer. Vous devez faire votre choix. Ou il était, et est toujours, le fils de Dieu, ou il était dérangé ou pire encore. Vous pouvez refuser de le croire parce que vous pensez qu'il était fou ou vous pouvez tomber à ses pieds et l'appeler Seigneur et Dieu. Mais n'essayons pas d'avancer des théories ridicules et condescendantes prétendant qu'il était un grand enseignant humain. Il ne nous a pas laissé cette possibilité.
Qui est Jésus de Nazareth pour vous ? A travers votre réponse, votre vie sur cette terre et pour toute l'éternité est en jeu.
Toutes les autres religions ont été fondées par des être humains et sont basées sur des philosophies, des règles, des normes de comportement qui viennent de l'homme. Si vous prenez le fondateur d'une de ces religions et que vous retirez sa personne des pratiques et des disciplines de cette religion, elle sera très peu changée. Mais si vous ôtez Jésus-Christ du christianisme, il ne reste plus rien. Le christianisme biblique n'est ni une simple philosophie de vie, ni une norme d'éthique, ni une obéissance à des rites religieux. Le véritable christianisme a pour fondement une relation vivante avec un sauveur et seigneur ressuscité et vivant.
Un fondateur ressuscité
Jésus de Nazareth a été crucifié sur une croix, inhumé dans le tombeau d'un autre, et trois jours plus tard il est ressuscité des morts ; le christianisme est unique à cet égard. Tout argument pour la validité du christianisme dépend des preuves de la résurrection de Jésus de Nazareth.
Au fil des siècles, la plupart des savants qui ont examiné les preuves de la résurrection ont cru, et croient encore, que Jésus est vivant. Après avoir examiné les preuves avancées par les auteurs des Evangiles, Simon Greenleaf, expert en questions légales à l'école de droit de Harvard a conclu : “Il était donc impossible qu'ils aient pu persister à affirmer les vérités qu'ils ont écrit si Jésus n'était pas véritablement ressuscité des morts, et s'ils ne le savaient pas aussi certainement qu'ils ne savaient n'importe quel autre fait.”
John Singleton Copley, reconnu comme étant l'un des juristes les plus brillants de toute l'Histoire britannique, a fait ce commentaire : “Je sais assez bien ce que sont des preuves ; et je vous l'affirme, des preuves telles que celles de la résurrection n'ont jamais été réfutées.”
Des raisons de croire
La résurrection est au coeur même de la foi d'un chrétien. Il y a plusieurs raisons pour lesquelles ceux qui étudient la résurrection croient qu'elle est vraie :
Elle a été prédite : Premièrement, Jésus lui-même a prédit sa mort et sa résurrection et ces événements se sont déroulés exactement comme il les avait prédits (Luc 18:31-33).
Le tombeau vide : Deuxièmement, la résurrection est la seule explication plausible pour le tombeau vide. Une lecture soigneuse du récit biblique révèle que son tombeau était gardé par des soldats romains et fermé par un énorme rocher. Si, comme certains le prétendent, Jésus n'était pas mort mais seulement affaibli, les gardes ou la pierre auraient empêché toute tentative d'évasion, que ce soit de sa part ou de la part de ses disciples. Les ennemis de Jésus n'auraient jamais pris le corps de Jésus, car la disparition du corps n'aurait servi qu'à encourager la croyance en la résurrection.
Des rencontres personnelles : Troisièmement, la résurrection est la seule explication des apparitions de Jésus à ses disciples. Après sa résurrection, Jésus est apparu au moins dix fois à ceux qui l'avaient connu et jusqu'à 500 personnes à la fois. Le Seigneur a prouvé que ses apparitions n'étaient pas des hallucinations : il mangé avec eux, il a parlé avec eux et ils l'ont touché. (1 Jean 1:1).
La naissance de l'Eglise : Quatrièmement, la résurrection est la seule explication raisonnable pour les débuts de l'Eglise chrétienne. L'Eglise chrétienne est de loin la plus grande institution qui existe et qui a jamais existé dans l'Histoire du monde. Plus de la moitié du premier sermon jamais prêché était en référence à la résurrection (Actes 2:14-36). Bien entendu, l'Église primitive savait que la résurrection était le fondement de son message. Les ennemis de Jésus ou de ceux qui le suivaient aurait pu tout arrêter d'un instant à l'autre simplement en montrant le corps de Jésus.
Des vies transformées : Cinquièmement, la résurrection est la seule explication logique pour la vie transformée de ses disciples. Il l'ont abandonné avant sa résurrection : après sa mort, ils étaient découragés et dans la peur. Ils ne s'attendaient pas à ce que Jésus ressuscite. (Luc 24:1-11).
Mais après la résurrection de Jésus et ce qu'ils ont vécu à la Pentecôte, ces mêmes hommes et femmes découragés, déçus, ont été transformés par la puissance du Christ ressuscité. En son nom, ils ont bouleversé le monde. Bon nombre ont perdu leur vie pour leur foi ; d'autres ont été terriblement persécutés. Leur courage n'a pas de sens en dehors de leur conviction que Jésus-Christ a été réellement ressuscité des morts - un fait qui valait bien à leurs yeux, le prix de leurs vies.
En quarante ans de travail avec les intellectuels du monde universitaire, je n'ai pas encore rencontré quelqu'un qui, après avoir considéré honnêtement la foule de preuves qui démontrent la divinité et la résurrection de Jésus de Nazareth, dignement n'ait pas admis que Jésus était bien le Fils de Dieu, le Messie promis. Bien que certains ne croient pas, ils ont l'honnêteté d'admettre “Je n'ai pas pris le temps de lire la Bible ou d'examiner les faits historiques au sujet de Jésus.”
Un Seigneur vivant : A cause de la résurrection de Jésus, ceux qui l'ont vraiment suivi ne font pas que suivre les principes d'éthique d'un fondateur mort, mais ils ont une relation vivante et personnelle avec un Seigneur vivant. Jésus-Christ vit aujourd'hui et bénit la vie de ceux qui lui font confiance et qui lui obéissent. Au fil des siècles, des multitudes ont reconnu l'importance de Jésus-Christ, certains d'entre eux ont eu une grand influence sur le monde.
Blaise Pascal a évoqué le besoin de l'homme pour Jésus lorsqu'il a dit “Il y un vide dans le coeur de chaque homme que seul Dieu peut combler par son fils Jésus-Christ.”
Voulez-vous connaître Jésus-Christ personnellement comme votre sauveur vivant ? Aussi audacieux que cela puisse paraître, c'est possible ! Jésus souhaite tellement établir une relation personnelle d'amour avec vous qu'il a déja fait tout ce qu'il faut pour cela.
LE PLAN DE DIEU POUR NOTRE SALUT
En effet, tout vient de lui, tout subsiste par lui et pour lui.
Romains 11:36
Oui, Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils, son unique, pour que tous ceux qui placent leur confiance en lui échappent à la perdition et qu'ils aient la vie éternelle.
Jean 3:16
En effet, au moment fixé par Dieu, alors que nous étions encore sans force, le Christ est mort pour des pécheurs. A peine accepterait-on de mourir pour un juste ; peut-être quelqu'un aurait-il le courage de mourir pour le bien. Mais voici comment Dieu nous montre l'amour qu'il a pour nous: alors que nous étions encore des pécheurs, le Christ est mort pour nous.
Romains 5:6-8
Ainsi parle l'Éternel: Le ciel est mon trône, Et la terre mon marchepied. Quelle maison pourriez-vous me bâtir, Et quel lieu me donneriez-vous pour demeure?
Ésaïe 66:1
Etant unis à lui, par la foi en lui, nous avons la liberté de nous approcher de Dieu avec assurance.
Éphésiens 3:12
Dieu est amour.
1 Jean 4:8
Romains 11:36
Oui, Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils, son unique, pour que tous ceux qui placent leur confiance en lui échappent à la perdition et qu'ils aient la vie éternelle.
Jean 3:16
En effet, au moment fixé par Dieu, alors que nous étions encore sans force, le Christ est mort pour des pécheurs. A peine accepterait-on de mourir pour un juste ; peut-être quelqu'un aurait-il le courage de mourir pour le bien. Mais voici comment Dieu nous montre l'amour qu'il a pour nous: alors que nous étions encore des pécheurs, le Christ est mort pour nous.
Romains 5:6-8
Ainsi parle l'Éternel: Le ciel est mon trône, Et la terre mon marchepied. Quelle maison pourriez-vous me bâtir, Et quel lieu me donneriez-vous pour demeure?
Ésaïe 66:1
Etant unis à lui, par la foi en lui, nous avons la liberté de nous approcher de Dieu avec assurance.
Éphésiens 3:12
Dieu est amour.
1 Jean 4:8
LE SALUT PAR LA FOI EN JESUS-CHRIST
Soyez réconciliés avec Dieu
Le but de ce site est de vous expliquer cher lecteur, et par des mots simples, le salut par la foi en Jésus-Christ.
Tout d’abord, précisons que la foi chrétienne est quelque chose d’unique. Elle est indissociable de la Parole de Dieu : la Bible. Ce que dit la Parole de Dieu est vrai et sans équivalent.
Et voici ce que Dieu dit au travers de sa Parole :
Dieu a créé toutes choses.
Dieu a créé l’homme à son image. L’homme a désobéi à Dieu, et ainsi le péché est entré dans la création.
Le péché a entraîné la corruption et la mort de toute la création.
Satan, un ange déchu, est devenu le prince du monde dans lequel nous vivons.
Ce que nous voyons aujourd’hui autour de nous est la conséquence de tout cela.
La Bible dit aussi que Dieu a tant aimé le monde, qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu'il ait la vie éternelle. (Evangile selon Jean 3 : 16).
Dieu lui même a rendu ce témoignage au sujet de son Fils, Jésus-Christ le Sauveur : " Celui-ci est mon Fils bien aimé, en qui j’ai trouvé mon affection, écoutez-le. " (Evangile selon Matthieu 17 : 5).
La Bible dit encore qu’en Jésus-Christ habite toute la plénitude de la divinité corporellement ( Epître de Paul aux Colossiens 2 : 9).
Jésus-Christ a dit "Personne ne m'ôte ma vie, mais moi, je la laisse de moi-même; j'ai le pouvoir de la laisser, et j’ai le pouvoir de la reprendre, j'ai reçu ce commandement de mon Père. " (Evangile selon Jean 10:18).
La Bible dit que Jésus est mort sur une croix. S’il est mort, ce n’est pas parce que l’homme l’a tué, car Il est la Vie, mais c’est parce qu’il a donné sa vie en rançon pour les péchés de tous les hommes qui croiraient en lui.
Et là cher lecteur, je vous invite à lire dans la Bible les récits contant les souffrances du Fils de Dieu, et les heures sombres de l’expiation. (Si vous n’avez pas de Bible, voyez un peu plus loin)
Vous trouverez ces récits dans les quatre évangiles :
o Evangile selon Matthieu 27 : 32 à 50
o Evangile selon Marc 15 : 22 à 37
o Evangile selon Luc 23 : 33 à 46
o Evangile selon Jean 19 : 17 à 30
Très cher lecteur, c’est pour vous, et c’est pour moi que Jésus a offert sa vie en sacrifice, afin que nous soyons réconciliés avec Dieu, notre créateur.
La parole de Dieu dit encore " Que Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n’imputant pas aux hommes leurs offenses et en mettant en nous la parole de la réconciliation. " (Deuxième épître de Paul aux Corinthiens 5 : 19).
Je vous en supplie, comprenez ces choses et acceptez les. Acceptez le salut que Dieu vous donne par le sang de Jésus qui seul peut vous purifier définitivement et parfaitement de tous vos péchés.
Ne vous dites pas comme beaucoup le font que parce que vous n’avez jamais tué ou volé alors vous mériterez le ciel, car c’est de l’aveuglement. Seul le sang de Jésus nous ouvre l’accès vers Dieu notre créateur. Si vous n’avez jamais volé ou tué, vous êtes innocent au titre des lois de votre pays, mais pas devant Dieu, car tous ont péché. C’est ce que dit la Bible.
Mais la Bible dit aussi :
JESUS EST RESSUSCITE
La mort est vaincue.
Maintenant que Jésus a souffert pour vous, qu’il est mort et qu’il est ressuscité, qu’il est aujourd’hui vivant auprès de Dieu le Père, vous pouvez lui parler par la prière, et pourquoi pas lui remettre votre vie entière, l’accepter comme votre Seigneur et votre Sauveur personnel.
Approchez vous de Dieu par la croix de Jésus-Christ. Demandez pardon à Dieu pour tous les péchés de votre vie, particulièrement pour ceux que Dieu vous montre dans votre conscience. N’endurcissez pas votre cœur. Dieu vous aime.
N’oubliez pas que Dieu veut avoir une relation personnelle avec vous. Vous pouvez l’avoir par la prière, et par la lecture de sa Parole.
DIEU VOUS AIME
Cher lecteur, je vous invite à croire ce que dit la Bible.
Je vous invite à confier votre vie à Dieu, et à prier Dieu par Jésus-Christ, le seul chemin entre Dieu et les hommes.
Je vous invite à lire la Bible en commençant par les évangiles qui retracent la vie de Jésus.
Une image simple pour comprendre que nous devons accepter devant DIEU que JESUS a payé notre dette:
Jacques a une dette envers Paul, mais il ne peut la rembourser.
Un ami dit à Paul : Je paye la dette de Jacques.
Paul accepte, et cet ami paye la totalité de la dette.
Jacques a maintenant deux choix possibles :
1. Il accepte que son ami ait payé la dette qu’il devait à Paul, et qu’il n’aurait jamais pu rembourser.
Dans ce cas Jacques est défait de sa dette, il ne doit plus rien.
2. Il refuse (par fierté, orgueil, incrédulité, etc.…).
Dans ce cas, il est toujours débiteur, il n’est pas libre.
Cet exemple est là pour aider à la compréhension du salut gratuit de Dieu en Jésus-Christ. En réalité, la dette que l’homme a envers son créateur est inestimable. Elle ne pouvait pas être réglée par un homme. Il a fallu que le Fils de Dieu devienne semblable à un homme et qu’il meurt en sacrifice pour les péchés des hommes.
La dette que tous les hommes ont envers Dieu à cause de leurs péchés a été définitivement payée par Jésus il y a environ 2000 ans. Chacun doit l’accepter personnellement devant Dieu.
Très cher lecteur, ne refusez pas une si grande grâce et un si grand salut.
Qu'adviendra-t-il à celui qui aura refusé:
Ou la condamnation tombe sur le sacrifice, ou la condamnation tombe sur celui qui aura méprisé le sacrifice.
La Bible dit :
Celui qui croit en lui n’est pas jugé, mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu’il n’a pas cru au nom du Fils unique de Dieu. (Evangile selon Jean 3 : 18).
Qui croit au Fils a la vie éternelle ; mais qui désobéit au Fils ne verra pas la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui. (Evangile selon Jean 3 : 36).
Comment échapperons-nous si nous négligeons un si grand salut ? (Epître de Paul aux Hébreux 2 :3).
Et si quelqu’un n’était pas trouvé écrit dans le livre de vie, il était jeté dans l’étang de feu. (Apocalypse 20 : 15).
Très cher lecteur,
ne passez pas à coté de l’appel de DIEU.
Le but de ce site est de vous expliquer cher lecteur, et par des mots simples, le salut par la foi en Jésus-Christ.
Tout d’abord, précisons que la foi chrétienne est quelque chose d’unique. Elle est indissociable de la Parole de Dieu : la Bible. Ce que dit la Parole de Dieu est vrai et sans équivalent.
Et voici ce que Dieu dit au travers de sa Parole :
Dieu a créé toutes choses.
Dieu a créé l’homme à son image. L’homme a désobéi à Dieu, et ainsi le péché est entré dans la création.
Le péché a entraîné la corruption et la mort de toute la création.
Satan, un ange déchu, est devenu le prince du monde dans lequel nous vivons.
Ce que nous voyons aujourd’hui autour de nous est la conséquence de tout cela.
La Bible dit aussi que Dieu a tant aimé le monde, qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu'il ait la vie éternelle. (Evangile selon Jean 3 : 16).
Dieu lui même a rendu ce témoignage au sujet de son Fils, Jésus-Christ le Sauveur : " Celui-ci est mon Fils bien aimé, en qui j’ai trouvé mon affection, écoutez-le. " (Evangile selon Matthieu 17 : 5).
La Bible dit encore qu’en Jésus-Christ habite toute la plénitude de la divinité corporellement ( Epître de Paul aux Colossiens 2 : 9).
Jésus-Christ a dit "Personne ne m'ôte ma vie, mais moi, je la laisse de moi-même; j'ai le pouvoir de la laisser, et j’ai le pouvoir de la reprendre, j'ai reçu ce commandement de mon Père. " (Evangile selon Jean 10:18).
La Bible dit que Jésus est mort sur une croix. S’il est mort, ce n’est pas parce que l’homme l’a tué, car Il est la Vie, mais c’est parce qu’il a donné sa vie en rançon pour les péchés de tous les hommes qui croiraient en lui.
Et là cher lecteur, je vous invite à lire dans la Bible les récits contant les souffrances du Fils de Dieu, et les heures sombres de l’expiation. (Si vous n’avez pas de Bible, voyez un peu plus loin)
Vous trouverez ces récits dans les quatre évangiles :
o Evangile selon Matthieu 27 : 32 à 50
o Evangile selon Marc 15 : 22 à 37
o Evangile selon Luc 23 : 33 à 46
o Evangile selon Jean 19 : 17 à 30
Très cher lecteur, c’est pour vous, et c’est pour moi que Jésus a offert sa vie en sacrifice, afin que nous soyons réconciliés avec Dieu, notre créateur.
La parole de Dieu dit encore " Que Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n’imputant pas aux hommes leurs offenses et en mettant en nous la parole de la réconciliation. " (Deuxième épître de Paul aux Corinthiens 5 : 19).
Je vous en supplie, comprenez ces choses et acceptez les. Acceptez le salut que Dieu vous donne par le sang de Jésus qui seul peut vous purifier définitivement et parfaitement de tous vos péchés.
Ne vous dites pas comme beaucoup le font que parce que vous n’avez jamais tué ou volé alors vous mériterez le ciel, car c’est de l’aveuglement. Seul le sang de Jésus nous ouvre l’accès vers Dieu notre créateur. Si vous n’avez jamais volé ou tué, vous êtes innocent au titre des lois de votre pays, mais pas devant Dieu, car tous ont péché. C’est ce que dit la Bible.
Mais la Bible dit aussi :
JESUS EST RESSUSCITE
La mort est vaincue.
Maintenant que Jésus a souffert pour vous, qu’il est mort et qu’il est ressuscité, qu’il est aujourd’hui vivant auprès de Dieu le Père, vous pouvez lui parler par la prière, et pourquoi pas lui remettre votre vie entière, l’accepter comme votre Seigneur et votre Sauveur personnel.
Approchez vous de Dieu par la croix de Jésus-Christ. Demandez pardon à Dieu pour tous les péchés de votre vie, particulièrement pour ceux que Dieu vous montre dans votre conscience. N’endurcissez pas votre cœur. Dieu vous aime.
N’oubliez pas que Dieu veut avoir une relation personnelle avec vous. Vous pouvez l’avoir par la prière, et par la lecture de sa Parole.
DIEU VOUS AIME
Cher lecteur, je vous invite à croire ce que dit la Bible.
Je vous invite à confier votre vie à Dieu, et à prier Dieu par Jésus-Christ, le seul chemin entre Dieu et les hommes.
Je vous invite à lire la Bible en commençant par les évangiles qui retracent la vie de Jésus.
Une image simple pour comprendre que nous devons accepter devant DIEU que JESUS a payé notre dette:
Jacques a une dette envers Paul, mais il ne peut la rembourser.
Un ami dit à Paul : Je paye la dette de Jacques.
Paul accepte, et cet ami paye la totalité de la dette.
Jacques a maintenant deux choix possibles :
1. Il accepte que son ami ait payé la dette qu’il devait à Paul, et qu’il n’aurait jamais pu rembourser.
Dans ce cas Jacques est défait de sa dette, il ne doit plus rien.
2. Il refuse (par fierté, orgueil, incrédulité, etc.…).
Dans ce cas, il est toujours débiteur, il n’est pas libre.
Cet exemple est là pour aider à la compréhension du salut gratuit de Dieu en Jésus-Christ. En réalité, la dette que l’homme a envers son créateur est inestimable. Elle ne pouvait pas être réglée par un homme. Il a fallu que le Fils de Dieu devienne semblable à un homme et qu’il meurt en sacrifice pour les péchés des hommes.
La dette que tous les hommes ont envers Dieu à cause de leurs péchés a été définitivement payée par Jésus il y a environ 2000 ans. Chacun doit l’accepter personnellement devant Dieu.
Très cher lecteur, ne refusez pas une si grande grâce et un si grand salut.
Qu'adviendra-t-il à celui qui aura refusé:
Ou la condamnation tombe sur le sacrifice, ou la condamnation tombe sur celui qui aura méprisé le sacrifice.
La Bible dit :
Celui qui croit en lui n’est pas jugé, mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu’il n’a pas cru au nom du Fils unique de Dieu. (Evangile selon Jean 3 : 18).
Qui croit au Fils a la vie éternelle ; mais qui désobéit au Fils ne verra pas la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui. (Evangile selon Jean 3 : 36).
Comment échapperons-nous si nous négligeons un si grand salut ? (Epître de Paul aux Hébreux 2 :3).
Et si quelqu’un n’était pas trouvé écrit dans le livre de vie, il était jeté dans l’étang de feu. (Apocalypse 20 : 15).
Très cher lecteur,
ne passez pas à coté de l’appel de DIEU.
GRACE ET VÉRITÉ
Une combinaison puissante ! Deux fois dans le premier chapitre de son évangile, l'Apôtre Jean décrit Jésus comme venant avec Grâce et Vérité (Jn 1. 14, 17). Est-ce que Jean se servait de ces mots comme une expression sentimentale pour décrire le caractère de Christ ? Ou alors, décrivait-il une méthode de ministère ? Serait-il possible que Grâce et Vérité soient une stratégie calculée pour approcher l'humanité de façon efficace ? Ces mots contiendraient-ils un modèle de ministère qui nous serait profitable et bon à suivre ?
Je suis convaincu que, même une étude superficielle de la vie de Jésus et de son ministère, que l'on trouve dans les Évangiles, nous révèlerait que Grâce et Vérité consistent en une méthode de travail que Jésus a pratiquée. Pour moi, il ne s'agit pas seulement d'une expression poétique de l'affection de Jean envers le Christ. Si nous croyons que Dieu a créé l'homme, il faut également croire qu'Il connaît la meilleure façon d'atteindre l'homme au travers de l'exercice du ministère. Nous pouvons croire que Son fils, Jésus, a utilisé le moyen le plus efficace pour accomplir Sa mission sur la Terre. Et si tout cela est vrai, il est évident que nous n'avons pas de meilleur modèle de ministère pastoral et de leadership ministériel que Jésus-Christ lui-même !
J'ai déjà entendu un professeur d'école biblique recommander à un de ces étudiants de ne pas seulement étudier des sujets mais aussi des hommes. Des hommes qui nous servent de modèles exemplaires pour exercer le ministère. Cette remarque est très vraie et très sage. Nous disons continuellement à nos étudiants lorsqu'ils quittent l'Institut Biblique du Québec pour se diriger dans le ministère, que le type et la qualité du pasteur avec lequel ils oeuvreront sont plus importants que le style ou la grandeur du bâtiment, l'emplacement de l'église, le budget annuel ou quoique ce soit d'autres. Nous avons besoin de bons « mentors » avant tout. Alors, peut-être que la première personne à étudier, en portant une attention et avec un souci d'apprendre devrait être Jésus ?
Une vision de Christ serait bien pour toute personne impliquée dans un ministère quelconque. Beaucoup de gens parlent de l'importance de véhiculer une vision dans un leadership. Ils nous mentionnent d'avoir une vision de l'avenir et de l'endroit où nous voulons diriger notre église ou notre ministère. Tout cela est véridique mais premièrement, nous devrions avoir la vision d'une personne et non d'un programme. Une vision de Christ pour découvrir comment il a réussi dans son ministère. Quels principes et quelles stratégies a-t-il utilisés ? Je ne parle pas d'une vision mystique ou d'une apparition spirituelle dans notre chambre la nuit mais bien d'une étude systématique de la vie de Jésus telle que décrite dans les Évangiles afin de découvrir un style et une approche ministérielle.
Malheureusement lorsque nous étudions la personne de Jésus, nous faisons souvent ce que Alberty Schweitzer a accusé les chrétiens de faire : regarder à Jésus comme si nous regardions dans un puits. Nous regardons avec intensité jusqu'à ce que nous apercevions le reflet de notre propre visage au fond. Cela signifie que trop souvent, nous regardons à Jésus non avec l'intention d'apprendre ou de changer mais plutôt pour justifier notre façon de faire les choses. Pouvons-nous approcher les Évangiles avec un désir sincère d'apprendre ? Sommes-nous prêts à changer et être à l'écoute de ce que le Saint-Esprit désire nous enseigner, en tant que disciples, pasteurs, leaders ou étudiants en formation ?
J'aimerais, dans la deuxième partie de ce message, vous amener à faire une promenade avec Jésus, dans l'Évangile de Jean, afin de découvrir comment son approche Grâce et Vérité est cruciale pour nous aujourd'hui. Elle est plus que jamais une nécessité dans notre contexte moderne. J'ose même affirmer que sans la pratique de la grâce, comme Jésus nous l'a démontré, il devient de plus en plus impossible de bien communiquer la vérité à cette génération. La communication de la vérité demeure le plus grand défi pour l'église d'aujourd'hui, dans une société qui rejette de plus en plus la notion des absolus. Peut-être cela vaudrait-il la peine de regarder de nouveau à Jésus, pour avoir la « technique divine », afin de réussir dans ce grand défi. Nous risquerions d'apprendre des choses intéressantes et étonnantes !
Je suis convaincu que, même une étude superficielle de la vie de Jésus et de son ministère, que l'on trouve dans les Évangiles, nous révèlerait que Grâce et Vérité consistent en une méthode de travail que Jésus a pratiquée. Pour moi, il ne s'agit pas seulement d'une expression poétique de l'affection de Jean envers le Christ. Si nous croyons que Dieu a créé l'homme, il faut également croire qu'Il connaît la meilleure façon d'atteindre l'homme au travers de l'exercice du ministère. Nous pouvons croire que Son fils, Jésus, a utilisé le moyen le plus efficace pour accomplir Sa mission sur la Terre. Et si tout cela est vrai, il est évident que nous n'avons pas de meilleur modèle de ministère pastoral et de leadership ministériel que Jésus-Christ lui-même !
J'ai déjà entendu un professeur d'école biblique recommander à un de ces étudiants de ne pas seulement étudier des sujets mais aussi des hommes. Des hommes qui nous servent de modèles exemplaires pour exercer le ministère. Cette remarque est très vraie et très sage. Nous disons continuellement à nos étudiants lorsqu'ils quittent l'Institut Biblique du Québec pour se diriger dans le ministère, que le type et la qualité du pasteur avec lequel ils oeuvreront sont plus importants que le style ou la grandeur du bâtiment, l'emplacement de l'église, le budget annuel ou quoique ce soit d'autres. Nous avons besoin de bons « mentors » avant tout. Alors, peut-être que la première personne à étudier, en portant une attention et avec un souci d'apprendre devrait être Jésus ?
Une vision de Christ serait bien pour toute personne impliquée dans un ministère quelconque. Beaucoup de gens parlent de l'importance de véhiculer une vision dans un leadership. Ils nous mentionnent d'avoir une vision de l'avenir et de l'endroit où nous voulons diriger notre église ou notre ministère. Tout cela est véridique mais premièrement, nous devrions avoir la vision d'une personne et non d'un programme. Une vision de Christ pour découvrir comment il a réussi dans son ministère. Quels principes et quelles stratégies a-t-il utilisés ? Je ne parle pas d'une vision mystique ou d'une apparition spirituelle dans notre chambre la nuit mais bien d'une étude systématique de la vie de Jésus telle que décrite dans les Évangiles afin de découvrir un style et une approche ministérielle.
Malheureusement lorsque nous étudions la personne de Jésus, nous faisons souvent ce que Alberty Schweitzer a accusé les chrétiens de faire : regarder à Jésus comme si nous regardions dans un puits. Nous regardons avec intensité jusqu'à ce que nous apercevions le reflet de notre propre visage au fond. Cela signifie que trop souvent, nous regardons à Jésus non avec l'intention d'apprendre ou de changer mais plutôt pour justifier notre façon de faire les choses. Pouvons-nous approcher les Évangiles avec un désir sincère d'apprendre ? Sommes-nous prêts à changer et être à l'écoute de ce que le Saint-Esprit désire nous enseigner, en tant que disciples, pasteurs, leaders ou étudiants en formation ?
J'aimerais, dans la deuxième partie de ce message, vous amener à faire une promenade avec Jésus, dans l'Évangile de Jean, afin de découvrir comment son approche Grâce et Vérité est cruciale pour nous aujourd'hui. Elle est plus que jamais une nécessité dans notre contexte moderne. J'ose même affirmer que sans la pratique de la grâce, comme Jésus nous l'a démontré, il devient de plus en plus impossible de bien communiquer la vérité à cette génération. La communication de la vérité demeure le plus grand défi pour l'église d'aujourd'hui, dans une société qui rejette de plus en plus la notion des absolus. Peut-être cela vaudrait-il la peine de regarder de nouveau à Jésus, pour avoir la « technique divine », afin de réussir dans ce grand défi. Nous risquerions d'apprendre des choses intéressantes et étonnantes !
LE PLAN DE SALUT DE DIEU
Cher ami, j’aimerais vous poser une question, en fait, la plus importante de votre vie. Votre bonheur ou votre perte, pour toute l’éternité, dépend de votre réponse.
Voici la question: “ Etes-vous sauvé ? Etes-vous sûr d’aller au ciel alors du retour du Christ? ” Je ne vous demande pas si vous êtes membre d’église, mais si vous êtes sauvé. Il ne s’agit pas non plus de savoir si vous êtes bon, mais si vous êtes sauvé. En effet, personne ne peut obtenir les bénédictions de Dieu ou même aller au ciel sans être préalablement sauvé. Jésus a dit à Nicodème dans l’évangile selon Jean, au chapitre 3 et au verset 7 : “ Il faut que vous naissiez de nouveau ”. Dieu nous donne dans sa parole, la Bible, le SEUL plan de salut qui ait jamais existé; ce plan est simple et vous pouvez être sauvé dès aujourd’hui.
En premier lieu, vous devez prendre conscience du fait que vous êtes pécheur. Dans l’épître de Paul aux Romains, nous lisons : “ Il n’y a point de juste, pas même un seul ” (Romains 3. 10). Un peu plus loin, nous lisons : “ Il n’y a point de distinction, car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu ” (Romains 3. 22,23).
Vous n’avez aucune chance d’être sauvé, à moins de reconnaître que vous êtes pécheur. Et parce que vous êtes pécheur, vous êtes condamné à mort, “ car le salaire du péché, c’est la mort ” (Romains 6. 23). Et le “ péché enfante la mort ” (épître de Jacques 1. 15). Le mot “ mort ” signifiant ici “ séparation ”, il s’agit d’une séparation d’avec Dieu, en enfer, pour l’éternité. C’est terrible ! Mais pourtant, c’est vrai.
Malgré cela, Dieu vous a tant aimé, qu’il a donné son fils unique, Jésus-Christ, comme substitut. Ce dernier a porté vos péchés ; il est mort à votre place. “ Celui qui n’a point connu le péché, il l’a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu ” (2ème épître aux Corinthiens 5. 21). “ Lui qui a porté lui-même nos péchés en son corps sur le bois, afin que morts aux péchés nous vivions pour la justice ; lui par les meurtrissures duquel vous avez été guéris ” (1ère épître de Pierre 2. 24). Il fallait que Jésus meure et qu’il verse son sang, afin que vous obteniez le pardon de vos péchés, “ car la vie de tout de qui est vivant est dans le sang ” (Lévitique 17. 11). “ Sans effusion de sang, il n’y a pas de pardon ” (épître aux Hébreux 9. 22). Nous ne pouvons pas comprendre comment Jésus a pu porter nos péchés, mais Dieu nous dit en sa parole qu’il en est ainsi. Ainsi donc, mon ami, Jésus a porté votre péché et il est mort à votre place sur la croix. Tout ceci est vrai. Dieu ne peut pas mentir.
A Philippes (en Macédoine), le geôlier de la prison demanda à ses prisonniers, Paul et Silas : “ Que faut-il que je fasse pour être sauvé ? ” (Actes des apôtres 16. 31). Croyez tout simplement en Christ, sachant que c’est lui qui a porté votre péché et qui est mort à votre place. Il a été enseveli, il est ressuscité et il est monté au ciel pour votre justification. Invoquez-le ! “ Quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé ” (épître aux Romains 10. 13).
Si vous regrettez vos péchés et cherchez sincèrement à en être délivré, vous pourriez dire à l’instar du pécheur repentant de l’évangile selon Luc : “ Aie pitié de moi qui suis un pécheur ” (Luc 18. 13). Quel que soit l’endroit où vous vous trouvez, élevez à l’instant votre cœur à Dieu dans la prière. Il n’est ni nécessaire de prier longuement ni de la faire à haute voix, car Dieu veut vraiment vous sauver. Il suffit de lui ouvrir votre cœur en n’oubliant pas que Dieu est impatient de vous sauver.
Dites simplement : “ Seigneur, je suis pécheur et je me repens. Pardonne-moi et sauve-moi grâce au sacrifice de Jésus ! ” A présent, prenez donc Dieu au mot ! “ Quiconque (cela peut donc être vous) invoquera le nom du Seigneur sera sauvé ” (épître aux Romains 10. 13). Le verset dit “ sera ”, et non “ pourrait être ” ou “ sera peut-être sauvé ” ; il dit bel et bien « sera sauvé », n’est-ce pas ? Aucune église, ni bonne œuvre, ni aucun homme ne peuvent vous sauver. Jésus est le seul qui puisse vous sauver. “ Il n’y a de salut en aucun autre, car il n’y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés ” (Actes des apôtres 4. 12).
Le simple plan du salut est le suivant : vous êtes pécheur et à cause de cela, vous devez mourir. A moins de croire que Jésus s’est substitué à vous sur la croix, qu’il a été enseveli, qu’il est ressuscité des morts et qu’il est monté au ciel pour votre justification, vous êtes encore perdu pour l’éternité. Prenant enfin conscience de votre état de pécheur, demandez à Dieu de vous pardonner et de vous sauver pour l’amour de Jésus ! Puis, prenez-le simplement au mot et, par la foi, acceptez le salut !
Vous me dites que cela ne peut certainement pas suffire pour être sauvé. Il n’y a pourtant rien d’autre à faire. Nombreux sont ceux qui ont été sauvés et gagnés à Christ par ce simple salut de Dieu. C’est celui de la parole de Dieu, celui de la Bible. C’est le plan divin. Cher ami, croyez-le et suivez-le aujourd’hui même ! “ Voici maintenant le temps favorable, voici maintenant le jour du salut ” (2ème épître aux Corinthiens 6. 2). “ Ne te vante pas du lendemain, car tu ne sais pas ce qu’un jour peut enfanter ” (Proverbes 27. 1). Si tout ceci n’est pas parfaitement clair, lisez et relisez ce texte. Ne le mettez pas de côté avant de l’avoir bien compris. Votre âme a bien trop de valeur pour négliger un tel salut comme le rappelle Jésus : “ Que sert-il à un homme de gagner tout le monde, s’il perd son âme ? Que donnerait un homme en échange de son âme ? ” (évangile selon Marc 8. 36,37).
Assurez-vous de la chose ! Rien n’est plus important que votre salut. Si vous perdiez votre âme, vous auriez vraiment tout perdu. Et vous perdriez votre âme en choisissant l’éternité en enfer. Que Dieu vous aide à être sauvé aujourd’hui même !
Dieu vous sauvera et vous gardera. “ Aucune tentation ne vous est survenue qui n’ait été humaine, et Dieu, qui est fidèle, ne permettra pas que vous soyez tentés au-delà de vos forces ; mais avec la tentation, il préparera aussi le moyen d’en sortir, afin que vous puissiez la supporter ” (1ère épître aux Corinthiens 10. 13).
Ne vous fiez pas à vos sentiments – ils peuvent varier. Accrochez-vous plutôt aux promesses de Dieu ! Elles ne changent jamais. Une fois sauvé, il y a trois choses importantes à faire, et cela chaque jour, afin de grandir spirituellement : PRIEZ : vous parlez à Dieu. LISEZ LA BIBLE : Dieu vous parle. TEMOIGNEZ : vous parlez de Dieu et pour Dieu.
“ C’est pourquoi, quiconque me confessera devant les hommes, je le confesserai aussi devant mon Père qui est dans les cieux ” (évangile selon Matthieu 10. 32).
Et si vous voulez être disciple à fond, faitesvous baptiser selon son commandement (Actes des apôtres 2. 41) !
Joignez-vous à une église locale qui aime la Bible et l’enseigne droitement !
Voici la question: “ Etes-vous sauvé ? Etes-vous sûr d’aller au ciel alors du retour du Christ? ” Je ne vous demande pas si vous êtes membre d’église, mais si vous êtes sauvé. Il ne s’agit pas non plus de savoir si vous êtes bon, mais si vous êtes sauvé. En effet, personne ne peut obtenir les bénédictions de Dieu ou même aller au ciel sans être préalablement sauvé. Jésus a dit à Nicodème dans l’évangile selon Jean, au chapitre 3 et au verset 7 : “ Il faut que vous naissiez de nouveau ”. Dieu nous donne dans sa parole, la Bible, le SEUL plan de salut qui ait jamais existé; ce plan est simple et vous pouvez être sauvé dès aujourd’hui.
En premier lieu, vous devez prendre conscience du fait que vous êtes pécheur. Dans l’épître de Paul aux Romains, nous lisons : “ Il n’y a point de juste, pas même un seul ” (Romains 3. 10). Un peu plus loin, nous lisons : “ Il n’y a point de distinction, car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu ” (Romains 3. 22,23).
Vous n’avez aucune chance d’être sauvé, à moins de reconnaître que vous êtes pécheur. Et parce que vous êtes pécheur, vous êtes condamné à mort, “ car le salaire du péché, c’est la mort ” (Romains 6. 23). Et le “ péché enfante la mort ” (épître de Jacques 1. 15). Le mot “ mort ” signifiant ici “ séparation ”, il s’agit d’une séparation d’avec Dieu, en enfer, pour l’éternité. C’est terrible ! Mais pourtant, c’est vrai.
Malgré cela, Dieu vous a tant aimé, qu’il a donné son fils unique, Jésus-Christ, comme substitut. Ce dernier a porté vos péchés ; il est mort à votre place. “ Celui qui n’a point connu le péché, il l’a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu ” (2ème épître aux Corinthiens 5. 21). “ Lui qui a porté lui-même nos péchés en son corps sur le bois, afin que morts aux péchés nous vivions pour la justice ; lui par les meurtrissures duquel vous avez été guéris ” (1ère épître de Pierre 2. 24). Il fallait que Jésus meure et qu’il verse son sang, afin que vous obteniez le pardon de vos péchés, “ car la vie de tout de qui est vivant est dans le sang ” (Lévitique 17. 11). “ Sans effusion de sang, il n’y a pas de pardon ” (épître aux Hébreux 9. 22). Nous ne pouvons pas comprendre comment Jésus a pu porter nos péchés, mais Dieu nous dit en sa parole qu’il en est ainsi. Ainsi donc, mon ami, Jésus a porté votre péché et il est mort à votre place sur la croix. Tout ceci est vrai. Dieu ne peut pas mentir.
A Philippes (en Macédoine), le geôlier de la prison demanda à ses prisonniers, Paul et Silas : “ Que faut-il que je fasse pour être sauvé ? ” (Actes des apôtres 16. 31). Croyez tout simplement en Christ, sachant que c’est lui qui a porté votre péché et qui est mort à votre place. Il a été enseveli, il est ressuscité et il est monté au ciel pour votre justification. Invoquez-le ! “ Quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé ” (épître aux Romains 10. 13).
Si vous regrettez vos péchés et cherchez sincèrement à en être délivré, vous pourriez dire à l’instar du pécheur repentant de l’évangile selon Luc : “ Aie pitié de moi qui suis un pécheur ” (Luc 18. 13). Quel que soit l’endroit où vous vous trouvez, élevez à l’instant votre cœur à Dieu dans la prière. Il n’est ni nécessaire de prier longuement ni de la faire à haute voix, car Dieu veut vraiment vous sauver. Il suffit de lui ouvrir votre cœur en n’oubliant pas que Dieu est impatient de vous sauver.
Dites simplement : “ Seigneur, je suis pécheur et je me repens. Pardonne-moi et sauve-moi grâce au sacrifice de Jésus ! ” A présent, prenez donc Dieu au mot ! “ Quiconque (cela peut donc être vous) invoquera le nom du Seigneur sera sauvé ” (épître aux Romains 10. 13). Le verset dit “ sera ”, et non “ pourrait être ” ou “ sera peut-être sauvé ” ; il dit bel et bien « sera sauvé », n’est-ce pas ? Aucune église, ni bonne œuvre, ni aucun homme ne peuvent vous sauver. Jésus est le seul qui puisse vous sauver. “ Il n’y a de salut en aucun autre, car il n’y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés ” (Actes des apôtres 4. 12).
Le simple plan du salut est le suivant : vous êtes pécheur et à cause de cela, vous devez mourir. A moins de croire que Jésus s’est substitué à vous sur la croix, qu’il a été enseveli, qu’il est ressuscité des morts et qu’il est monté au ciel pour votre justification, vous êtes encore perdu pour l’éternité. Prenant enfin conscience de votre état de pécheur, demandez à Dieu de vous pardonner et de vous sauver pour l’amour de Jésus ! Puis, prenez-le simplement au mot et, par la foi, acceptez le salut !
Vous me dites que cela ne peut certainement pas suffire pour être sauvé. Il n’y a pourtant rien d’autre à faire. Nombreux sont ceux qui ont été sauvés et gagnés à Christ par ce simple salut de Dieu. C’est celui de la parole de Dieu, celui de la Bible. C’est le plan divin. Cher ami, croyez-le et suivez-le aujourd’hui même ! “ Voici maintenant le temps favorable, voici maintenant le jour du salut ” (2ème épître aux Corinthiens 6. 2). “ Ne te vante pas du lendemain, car tu ne sais pas ce qu’un jour peut enfanter ” (Proverbes 27. 1). Si tout ceci n’est pas parfaitement clair, lisez et relisez ce texte. Ne le mettez pas de côté avant de l’avoir bien compris. Votre âme a bien trop de valeur pour négliger un tel salut comme le rappelle Jésus : “ Que sert-il à un homme de gagner tout le monde, s’il perd son âme ? Que donnerait un homme en échange de son âme ? ” (évangile selon Marc 8. 36,37).
Assurez-vous de la chose ! Rien n’est plus important que votre salut. Si vous perdiez votre âme, vous auriez vraiment tout perdu. Et vous perdriez votre âme en choisissant l’éternité en enfer. Que Dieu vous aide à être sauvé aujourd’hui même !
Dieu vous sauvera et vous gardera. “ Aucune tentation ne vous est survenue qui n’ait été humaine, et Dieu, qui est fidèle, ne permettra pas que vous soyez tentés au-delà de vos forces ; mais avec la tentation, il préparera aussi le moyen d’en sortir, afin que vous puissiez la supporter ” (1ère épître aux Corinthiens 10. 13).
Ne vous fiez pas à vos sentiments – ils peuvent varier. Accrochez-vous plutôt aux promesses de Dieu ! Elles ne changent jamais. Une fois sauvé, il y a trois choses importantes à faire, et cela chaque jour, afin de grandir spirituellement : PRIEZ : vous parlez à Dieu. LISEZ LA BIBLE : Dieu vous parle. TEMOIGNEZ : vous parlez de Dieu et pour Dieu.
“ C’est pourquoi, quiconque me confessera devant les hommes, je le confesserai aussi devant mon Père qui est dans les cieux ” (évangile selon Matthieu 10. 32).
Et si vous voulez être disciple à fond, faitesvous baptiser selon son commandement (Actes des apôtres 2. 41) !
Joignez-vous à une église locale qui aime la Bible et l’enseigne droitement !
VERITE ET FOI
Lectures bibliques: Ephésiens 4: l'unité de la foi et la vie nouvelle
Jean 14:5-7, 15-17; 16:12-15; 18:33-38 ; Esaïe 7:1-9
La notion de vérité a perdu au sein de notre culture de sa vigueur et de sa substance. En effet, on n'en parle plus guère au sens objectif, et encore moins au sens absolu. Lorsqu'on parle de vérité, on lui reconnaît le droit de cité dans le domaine des sciences mais on insiste aussitôt sur sa relativité. L'homme seul, fini, c'est-à-dire créé, ne peut avoir qu'une conception partielle et limitée de la vérité. Cette approche plus humble est saine dans la mesure où elle ne débouche pas sur le scepticisme. Qui peut prétendre à une connaissance exhaustive de la vérité?
Lorsqu'on parle de vérité aujourd'hui, on pense aussi au consensus, à l'opinion publique. Est vrai ce que croit la majorité de la société, d'un groupe, d'une communauté - que ce soit dans le domaine de la pensée ou des mœurs. C'est le consensus sociologique qui détermine la réflexion et le comportement de nos contemporains. Et comme les hommes ont soif d'infini, ils absolutisent très vite cette opinion publique!
Dans le domaine religieux, la vérité est essentiellement du domaine relatif et subjectif. Tout est vérité, quelle que soit l'opinion avancée, quel que soit le point de vue. Toute discussion objective, cohérente et intellectuelle de la vérité est mal vue. "Selon la bonne doctrine d'aujourd'hui, l'erreur a droit à sa part de représentation proportionnelle au sein de la vérité. Plus vous vous trompez, plus vous êtes dans le vrai." Il s'ensuit deux manières de la concevoir:
soit la vérité est une réalité qui constamment vous échappe. Elle suppose alors une quête sans fin, une recherche jamais assouvie;
soit elle s'identifie à l'expérience personnelle. Elle a alors une valeur subjective, individuelle mais sans fondement rationnel et objectif.
A plus d'un point de vue, notre époque partage le scepticisme de Pilate, qui, lorsque Jésus lui parle de vérité, répond: "Qu'est-ce que la vérité?" Elle recherche bien quelque chose, à tâtons, dans la nuit. Elle a soif d'absolu mais elle ne pense pas vraiment qu'il y ait une réponse. Bien souvent notre génération choisit d'être aveugle, "de réprimer, d'étouffer la vérité (de ce qui est) et de la retenir captive de l'injustice" (Rm 1:18)1.
I. La vérité de Dieu
Dans son épître aux Ephésiens, Paul revient sur cette notion à plusieurs reprises. C'est un des thèmes centraux de son épître. C'est la vérité qui apporte solidité à la pensée, stabilité mentale et cohérence dans le comportement humain, comportement qui correspond d'ailleurs à l'attente divine.
i) Une vérité exclusive
"La vérité est le monopole de la connaissance infinie, de l'omniscience." C'est ce qui ressort de la conversation que Thomas a avec Jésus et dans laquelle le Seigneur fait cette déclaration bouleversante: "Je suis le chemin, la vérité et la vie." (Jn 14:5-7) L'exclusivisme biblique repose sur le fait que Dieu s'est fait connaître, que Jésus est le Messie, la deuxième personne de la Trinité, Dieu lui-même. En tant que tel, il est la vérité. Il nous communique et nous manifeste la pensée de Dieu. C'est ce que Paul évoque lorsqu'il dit: "En lui (Jésus-Christ), encore, vous avez entendu la parole de vérité, l'Evangile qui vous sauve..." (Ep 1:13) C'est une parole à propos d'une personne. Elle dévoile sa pensée et son œuvre, et correspond à ce qui est. Elle est vraiment bonne nouvelle!
Et l'apôtre de continuer: "Pour vous, ce n'est pas ainsi que vous avez appris le Christ, si du moins c'est bien lui que vous avez écouté, si c'est lui qui vous a été enseigné, conformément à la vérité qui est en Jésus..." (Ep 4:20-21) Ce message s'adresse à notre intelligence, on l'entend, il est l'objet d'enseignement puisqu'on l'apprend. Le Christ qu'enseigne l'Eglise est conforme à la vérité qui est en Jésus. Il n'y a pas de distance entre le Christ de l'Eglise et le Jésus de l'histoire. Il n'y a aucune place dans la pensée de l'apôtre pour la gnose ancienne ou moderne! Il s'agit donc d'une bonne nouvelle, ayant un contenu rationnel et précis, un contenu qui se communique. Elle ne se réduit pas à une expérience supra-rationnelle, subjective qui se partage on ne sait comment. L'homme peut l'examiner et même l'évaluer à la lumière des faibles capacités de son intelligence. C'est une parole ayant une dimension objective tout en étant profondément personnelle et ayant des implications pratiques.
ii) La vérité qui renouvelle
Cependant, Paul poursuit sa pensée: "...il vous faut être renouvelés par la transformation spirituelle de votre intelligence et revêtir l'homme nouveau créé selon Dieu dans la justice et la sainteté qui viennent de la vérité." (Ep 4:22-24) L'homme tout entier, pensées, sentiments, volonté, est appelé au renouvellement dont le fondement et la source sont la vérité qui est en Christ-Jésus. Cette vérité qui me saisit éclaire mon intelligence obscurcie et répond non seulement au dilemme de l'homme, mais aussi à la question de son existence. Jésus n'est-il pas à la fois Créateur et Sauveur? N'est-ce pas lui qui donne son sens à la vie et fait naître à une espérance qui ne trompe pas?
Ainsi, ayant saisi cet enseignement, ou ayant été saisis par celui qui le donne, nous sommes au bénéfice de la stabilité dans nos pensées et de la constance dans notre vie. Ecoutons l'apôtre à nouveau:
Ainsi, nous ne serons plus des enfants, ballottés, menés à la dérive, à tout vent de doctrine, joués par les hommes et leur astuce à fourvoyer dans l'erreur. Mais confessant la vérité dans l'amour, nous grandirons à tous égards vers celui qui est la tête, Christ. (Ep 4:14-15)
iii) Vérité et amour
En Christ, nous avons accès à la vérité. C'est d'ailleurs une des tâches du Saint-Esprit, qui "sonde même les profondeurs de Dieu", que de nous révéler la pensée divine (I Co 2:10-16). Mais la connaissance que nous recevons ainsi n'est pas exhaustive, elle demeure partielle. C'est pour cela que Paul introduit la notion d'amour dans le passage que nous venons de citer (cf. 4:14-17). L'amour brûlant de Dieu et du prochain n'exige pas que l'on renonce à tout attachement à la vérité. Mais la vérité confessée sans un amour profond de Dieu et de notre semblable n'est qu'une caricature de la révélation de Dieu en Jésus-Christ où justice et bonté se sont embrassées, où vérité et amour se sont associés. Sous prétexte d'avoir accès à la pensée même de Dieu nous ne pouvons nous permettre d'écraser notre prochain. Mais sans une connaissance de la bonne nouvelle, il n'y a pas de salut et encore moins de sanctification. Nous l'avons évoqué en passant tout à l'heure, cette vérité qui nous réconcilie avec Dieu agit en nous pour nous transformer, pour créer en nous l'homme nouveau, selon Dieu, dans la justice et la sainteté2. Il n'y a pas de vie renouvelée sans conversion. Mais ce changement de mentalité que provoque la vérité produit des fruits de bonté, de justice et d'intégrité (Ep 5:9). Paul précise même très concrètement quels sont ces fruits de l'Esprit:
les rapports de confiance et de vérité (4:25);
la maîtrise de la colère injuste et rancunière (4:26);
la pratique d'une authentique éthique du travail et du partage (4:28);
la communication d'une Parole qui vivifie et renouvelle (4:29);
la manifestation concrète de bonté, de sensibilité accrue et de pardon (4:32).
Ainsi, au cœur de la révélation biblique se trouve la vérité. Elle est le point de vue de Dieu conforme en toutes choses à ce qui est. Puisqu'elle s'est incarnée en Jésus-Christ (Créateur et Sauveur), il s'agit d'une vérité personnelle, qui nous interpelle, qui nous appelle à la conversion, conversion de notre être tout entier et qui nous invite à manifester dans le cercle de notre vie l'homme nouveau créé à l'image du Christ.
II. Vérité et foi
Si j'ai évoqué cette question, c'est parce qu'il est fondamental pour nous, professeurs, théologiens, étudiants en théologie, simples fidèles, d'établir notre foi sur une juste compréhension de la vérité, de cette vérité que Dieu nous donne dans sa création3, mais qu'il nous communique plus spécifiquement par la Parole écrite et incarnée; vérité qui émane du "cœur" de Dieu et que nous pouvons connaître, comprendre réellement sans prétendre la saisir exhaustivement. Car il n'y a pas de vraie foi sans connaissance, sans compréhension. C'est précisément pour cela que les notions de vérité et de foi sont rattachées à la même racine en hébreu4. Lorsque foi, connaissance et vérité se conjuguent, elles donnent au croyant stabilité et assurance. Prenons comme exemple la parole du prophète Esaïe à Ahaz lorsqu'il tremble devant la menace de la Syrie (Aram) et d'Israël (Retsin et Pekah). Le prophète dit à Ahaz et au peuple: "Si vous ne croyez5 pas (en Dieu et dans ses promesses), vous ne serez pas solides, fermes, établis."6 (Es 7:9)
Cette vérité, nous pouvons la méditer, l'approfondir sans jamais nous lasser. Elle nous ouvre les yeux sur nos erreurs, sur le monde, sa détresse, sa soif... Cette vérité nous bouleverse dans nos habitudes de pensée et de vie... Elle nous invite à vivre toujours plus dans l'intimité de Dieu, notre Père. Cette vérité-là se nomme Jésus-Christ.
En conclusion de cette méditation, je voudrais vous laisser la réponse que Martin Luther donne dans son Catéchisme à la question "Que signifient les mots je crois en Dieu ?":
Les mots je crois en Dieu signifient :
1) Je sais ce que l'Ecriture sainte dit de Dieu (connaissance);
2) je le reconnais pour vrai (assentiment);
3) je mets mon entière confiance dans sa Parole (confiance)7.
Si nous voulons connaître la maturité dans nos vies et dans nos institutions diverses, il nous faut, comme Luther, ne pas craindre d'articuler connaissance, assentiment et confiance. Si nous voulons participer à la réforme et au réveil de nos Eglises, il nous faut retrouver toute la richesse et la vigueur de cette Vérité venue de Dieu qui suscite la foi et qui purifie et renouvelle le peuple qui a l'audace et le courage de se confier en elle.
1Soljenitsyne analyse fort bien cette perspective dans son ouvrage: Les pluralistes (Paris: Fayard, 1983), 9 ss.
2 = la piété, la vertu, c'est-à-dire un comportement conforme aux exigences de Dieu.
3 Il s'agit de la révélation générale que Dieu nous communique par la nature, par l'homme, être moral et personnel, et par l'histoire.
4 Emet (vérité) et emuna (fidélité, foi, fermeté) sont rattachés à la racine aman (être solide, digne de confiance; avoir confiance, croire); cf. amen: en vérité, ainsi soit-il.
5 Causatif (hiphil) de la racine aman: "avoir confiance, croire".
6 Passif (riphal) de la même racine: "être solide, ferme, digne de confiance".
7 M. Luther: Petit Catéchisme, édité par l'Eglise Evangélique Luthérienne (s.d.), 98.
Jean 14:5-7, 15-17; 16:12-15; 18:33-38 ; Esaïe 7:1-9
La notion de vérité a perdu au sein de notre culture de sa vigueur et de sa substance. En effet, on n'en parle plus guère au sens objectif, et encore moins au sens absolu. Lorsqu'on parle de vérité, on lui reconnaît le droit de cité dans le domaine des sciences mais on insiste aussitôt sur sa relativité. L'homme seul, fini, c'est-à-dire créé, ne peut avoir qu'une conception partielle et limitée de la vérité. Cette approche plus humble est saine dans la mesure où elle ne débouche pas sur le scepticisme. Qui peut prétendre à une connaissance exhaustive de la vérité?
Lorsqu'on parle de vérité aujourd'hui, on pense aussi au consensus, à l'opinion publique. Est vrai ce que croit la majorité de la société, d'un groupe, d'une communauté - que ce soit dans le domaine de la pensée ou des mœurs. C'est le consensus sociologique qui détermine la réflexion et le comportement de nos contemporains. Et comme les hommes ont soif d'infini, ils absolutisent très vite cette opinion publique!
Dans le domaine religieux, la vérité est essentiellement du domaine relatif et subjectif. Tout est vérité, quelle que soit l'opinion avancée, quel que soit le point de vue. Toute discussion objective, cohérente et intellectuelle de la vérité est mal vue. "Selon la bonne doctrine d'aujourd'hui, l'erreur a droit à sa part de représentation proportionnelle au sein de la vérité. Plus vous vous trompez, plus vous êtes dans le vrai." Il s'ensuit deux manières de la concevoir:
soit la vérité est une réalité qui constamment vous échappe. Elle suppose alors une quête sans fin, une recherche jamais assouvie;
soit elle s'identifie à l'expérience personnelle. Elle a alors une valeur subjective, individuelle mais sans fondement rationnel et objectif.
A plus d'un point de vue, notre époque partage le scepticisme de Pilate, qui, lorsque Jésus lui parle de vérité, répond: "Qu'est-ce que la vérité?" Elle recherche bien quelque chose, à tâtons, dans la nuit. Elle a soif d'absolu mais elle ne pense pas vraiment qu'il y ait une réponse. Bien souvent notre génération choisit d'être aveugle, "de réprimer, d'étouffer la vérité (de ce qui est) et de la retenir captive de l'injustice" (Rm 1:18)1.
I. La vérité de Dieu
Dans son épître aux Ephésiens, Paul revient sur cette notion à plusieurs reprises. C'est un des thèmes centraux de son épître. C'est la vérité qui apporte solidité à la pensée, stabilité mentale et cohérence dans le comportement humain, comportement qui correspond d'ailleurs à l'attente divine.
i) Une vérité exclusive
"La vérité est le monopole de la connaissance infinie, de l'omniscience." C'est ce qui ressort de la conversation que Thomas a avec Jésus et dans laquelle le Seigneur fait cette déclaration bouleversante: "Je suis le chemin, la vérité et la vie." (Jn 14:5-7) L'exclusivisme biblique repose sur le fait que Dieu s'est fait connaître, que Jésus est le Messie, la deuxième personne de la Trinité, Dieu lui-même. En tant que tel, il est la vérité. Il nous communique et nous manifeste la pensée de Dieu. C'est ce que Paul évoque lorsqu'il dit: "En lui (Jésus-Christ), encore, vous avez entendu la parole de vérité, l'Evangile qui vous sauve..." (Ep 1:13) C'est une parole à propos d'une personne. Elle dévoile sa pensée et son œuvre, et correspond à ce qui est. Elle est vraiment bonne nouvelle!
Et l'apôtre de continuer: "Pour vous, ce n'est pas ainsi que vous avez appris le Christ, si du moins c'est bien lui que vous avez écouté, si c'est lui qui vous a été enseigné, conformément à la vérité qui est en Jésus..." (Ep 4:20-21) Ce message s'adresse à notre intelligence, on l'entend, il est l'objet d'enseignement puisqu'on l'apprend. Le Christ qu'enseigne l'Eglise est conforme à la vérité qui est en Jésus. Il n'y a pas de distance entre le Christ de l'Eglise et le Jésus de l'histoire. Il n'y a aucune place dans la pensée de l'apôtre pour la gnose ancienne ou moderne! Il s'agit donc d'une bonne nouvelle, ayant un contenu rationnel et précis, un contenu qui se communique. Elle ne se réduit pas à une expérience supra-rationnelle, subjective qui se partage on ne sait comment. L'homme peut l'examiner et même l'évaluer à la lumière des faibles capacités de son intelligence. C'est une parole ayant une dimension objective tout en étant profondément personnelle et ayant des implications pratiques.
ii) La vérité qui renouvelle
Cependant, Paul poursuit sa pensée: "...il vous faut être renouvelés par la transformation spirituelle de votre intelligence et revêtir l'homme nouveau créé selon Dieu dans la justice et la sainteté qui viennent de la vérité." (Ep 4:22-24) L'homme tout entier, pensées, sentiments, volonté, est appelé au renouvellement dont le fondement et la source sont la vérité qui est en Christ-Jésus. Cette vérité qui me saisit éclaire mon intelligence obscurcie et répond non seulement au dilemme de l'homme, mais aussi à la question de son existence. Jésus n'est-il pas à la fois Créateur et Sauveur? N'est-ce pas lui qui donne son sens à la vie et fait naître à une espérance qui ne trompe pas?
Ainsi, ayant saisi cet enseignement, ou ayant été saisis par celui qui le donne, nous sommes au bénéfice de la stabilité dans nos pensées et de la constance dans notre vie. Ecoutons l'apôtre à nouveau:
Ainsi, nous ne serons plus des enfants, ballottés, menés à la dérive, à tout vent de doctrine, joués par les hommes et leur astuce à fourvoyer dans l'erreur. Mais confessant la vérité dans l'amour, nous grandirons à tous égards vers celui qui est la tête, Christ. (Ep 4:14-15)
iii) Vérité et amour
En Christ, nous avons accès à la vérité. C'est d'ailleurs une des tâches du Saint-Esprit, qui "sonde même les profondeurs de Dieu", que de nous révéler la pensée divine (I Co 2:10-16). Mais la connaissance que nous recevons ainsi n'est pas exhaustive, elle demeure partielle. C'est pour cela que Paul introduit la notion d'amour dans le passage que nous venons de citer (cf. 4:14-17). L'amour brûlant de Dieu et du prochain n'exige pas que l'on renonce à tout attachement à la vérité. Mais la vérité confessée sans un amour profond de Dieu et de notre semblable n'est qu'une caricature de la révélation de Dieu en Jésus-Christ où justice et bonté se sont embrassées, où vérité et amour se sont associés. Sous prétexte d'avoir accès à la pensée même de Dieu nous ne pouvons nous permettre d'écraser notre prochain. Mais sans une connaissance de la bonne nouvelle, il n'y a pas de salut et encore moins de sanctification. Nous l'avons évoqué en passant tout à l'heure, cette vérité qui nous réconcilie avec Dieu agit en nous pour nous transformer, pour créer en nous l'homme nouveau, selon Dieu, dans la justice et la sainteté2. Il n'y a pas de vie renouvelée sans conversion. Mais ce changement de mentalité que provoque la vérité produit des fruits de bonté, de justice et d'intégrité (Ep 5:9). Paul précise même très concrètement quels sont ces fruits de l'Esprit:
les rapports de confiance et de vérité (4:25);
la maîtrise de la colère injuste et rancunière (4:26);
la pratique d'une authentique éthique du travail et du partage (4:28);
la communication d'une Parole qui vivifie et renouvelle (4:29);
la manifestation concrète de bonté, de sensibilité accrue et de pardon (4:32).
Ainsi, au cœur de la révélation biblique se trouve la vérité. Elle est le point de vue de Dieu conforme en toutes choses à ce qui est. Puisqu'elle s'est incarnée en Jésus-Christ (Créateur et Sauveur), il s'agit d'une vérité personnelle, qui nous interpelle, qui nous appelle à la conversion, conversion de notre être tout entier et qui nous invite à manifester dans le cercle de notre vie l'homme nouveau créé à l'image du Christ.
II. Vérité et foi
Si j'ai évoqué cette question, c'est parce qu'il est fondamental pour nous, professeurs, théologiens, étudiants en théologie, simples fidèles, d'établir notre foi sur une juste compréhension de la vérité, de cette vérité que Dieu nous donne dans sa création3, mais qu'il nous communique plus spécifiquement par la Parole écrite et incarnée; vérité qui émane du "cœur" de Dieu et que nous pouvons connaître, comprendre réellement sans prétendre la saisir exhaustivement. Car il n'y a pas de vraie foi sans connaissance, sans compréhension. C'est précisément pour cela que les notions de vérité et de foi sont rattachées à la même racine en hébreu4. Lorsque foi, connaissance et vérité se conjuguent, elles donnent au croyant stabilité et assurance. Prenons comme exemple la parole du prophète Esaïe à Ahaz lorsqu'il tremble devant la menace de la Syrie (Aram) et d'Israël (Retsin et Pekah). Le prophète dit à Ahaz et au peuple: "Si vous ne croyez5 pas (en Dieu et dans ses promesses), vous ne serez pas solides, fermes, établis."6 (Es 7:9)
Cette vérité, nous pouvons la méditer, l'approfondir sans jamais nous lasser. Elle nous ouvre les yeux sur nos erreurs, sur le monde, sa détresse, sa soif... Cette vérité nous bouleverse dans nos habitudes de pensée et de vie... Elle nous invite à vivre toujours plus dans l'intimité de Dieu, notre Père. Cette vérité-là se nomme Jésus-Christ.
En conclusion de cette méditation, je voudrais vous laisser la réponse que Martin Luther donne dans son Catéchisme à la question "Que signifient les mots je crois en Dieu ?":
Les mots je crois en Dieu signifient :
1) Je sais ce que l'Ecriture sainte dit de Dieu (connaissance);
2) je le reconnais pour vrai (assentiment);
3) je mets mon entière confiance dans sa Parole (confiance)7.
Si nous voulons connaître la maturité dans nos vies et dans nos institutions diverses, il nous faut, comme Luther, ne pas craindre d'articuler connaissance, assentiment et confiance. Si nous voulons participer à la réforme et au réveil de nos Eglises, il nous faut retrouver toute la richesse et la vigueur de cette Vérité venue de Dieu qui suscite la foi et qui purifie et renouvelle le peuple qui a l'audace et le courage de se confier en elle.
1Soljenitsyne analyse fort bien cette perspective dans son ouvrage: Les pluralistes (Paris: Fayard, 1983), 9 ss.
2 = la piété, la vertu, c'est-à-dire un comportement conforme aux exigences de Dieu.
3 Il s'agit de la révélation générale que Dieu nous communique par la nature, par l'homme, être moral et personnel, et par l'histoire.
4 Emet (vérité) et emuna (fidélité, foi, fermeté) sont rattachés à la racine aman (être solide, digne de confiance; avoir confiance, croire); cf. amen: en vérité, ainsi soit-il.
5 Causatif (hiphil) de la racine aman: "avoir confiance, croire".
6 Passif (riphal) de la même racine: "être solide, ferme, digne de confiance".
7 M. Luther: Petit Catéchisme, édité par l'Eglise Evangélique Luthérienne (s.d.), 98.
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